Depuis plusieurs jours, les fenêtres qui ont été enlevées sont reposées, un bâtiment est presque entièrement fini.
Des bruits les plus inquiétants les uns que les autres circulent : ils vont remettre en état les bâtiments et les réhabiliter pour qu'ils soient réhabilités, de l'amiante a été trouvé, ils n'ont pas assez d'argent pour continuer, etc.
Quelles que soient la ou les réponses, qui paie ?
Car là aussi qui va payer ses travaux de repose des fenêtres ? La municipalité ou l'entreprise ?
Des habitants de la cité m'ont fait remarquer qu'il y avait très peu d'ouvriers sur tous les travaux en cours et ils me faisaient le décompte de tous ceux qui sont engagés dans cette cité. C'est vrai que cela paraît incroyable de constater tous les chantiers en cours ! Il y en a partout (presque aux 4 coins, s'il y a des coins dans cette cité) et beaucoup semble « suspendus », car peu ou voir pas, d'ouvriers sont en activités dans certains.
Pourquoi avoir lancé autant de chantiers à la fois ? Les habitants sont très surpris (c'est le moins que l'on puisse dire) de voir qu'autant sont en cour... et en attente.
Sans oublier ceux qui « attendent » je ne sais quoi comme la médiathèque ou le bâtiment à côté, d'ailleurs des habitants se demandent ce que c'est. Bel exemple de communication, mais nous avons, hélas, l'habitude. Il paraît que not'bon Maire veut plus communiquer, ce n'est pas communiquer qu'il faut qu'elle fasse, car là nous avons eu tout notre soul avec les « ateliers », mais qu'elle tienne compte des avis et demande des Romainvillois comme elle s'y était engagée lors de la campagne municipale de 2001 (je ferai des referendums lorsque les Romainvillois le demanderont, mais là aussi est-ce passé dans le casier : les temps ont changé !
Aller, ne serait-ce que passer, dans cette cité pour constater ce que j'écris.
Un conseil municipal extraordinaire va ce tenir mercredi 19, allons-y, peut-être qu'une nouvelle ère est en cour, le rêve est tout ce qu'il nous reste avec les yeux pour pleurer sur notre aveuglement de l'avoir élu en 2001 en croyant qu'elle serait loyale dans ses engagements. Les résidents du foyer Kérautret se sont rendu compte de : les engagements ne sont que pour ceux qui y croient.