La pierre cloîtrée,
il faut la voir ainsi
et que nulle ombre ne te distraie de sa blancheur.
Un arbre au loin s’efface. La lumière
s’amasse à la pointe du sein.
La nuit viendra, la nuit,
mais d’un pas si feutré que tu l’oublies.
(Jean Joubert)
La pierre cloîtrée,
il faut la voir ainsi
et que nulle ombre ne te distraie de sa blancheur.
Un arbre au loin s’efface. La lumière
s’amasse à la pointe du sein.
La nuit viendra, la nuit,
mais d’un pas si feutré que tu l’oublies.
(Jean Joubert)