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Lettres ouvertes explosives entre Apple et Adobe

Publié le 17 mai 2010 par Actualitesduweb
Adobe communique sur Apple

Adobe communique sur Apple

La campagne de communication d'Adobe sur Apple

La campagne de communication d’Adobe sur Apple

Depuis plusieurs semaines la guerre entre Adobe et Apple au sujet de Flash fait rage. Le jeudi 29 avril, le PDG d’Apple, Steve Jobs publie une lettre ouverte intitulée : Réflexion sur Flash. Cette argumentation a pour objectif d’expliquer la non présence de Flash dur l’i Phone, l’i Pod et l’i Pad. La déclaration forme le point de départ des règlements de comptes au grand jour des deux compagnies.

Le communiqué de presse dénonce en 6 points les faiblesses à l’encontre de la technologie d’Adobe. Il insiste sur le coté exclusif de la marque en  soulignant que des alternatives plus avantageuses existent. De plus, les performances du logiciel sur les appareils mobiles d’Apple ne sont pas suffisantes. Steve Jobs fait référence à l’étude de Symantec annonçant Flash comme l’un des pires records en matière de sécurité sur l’année 2009. Le PDG ajoute que le décodage logiciel des animations Flash demande plus de puissance que le décodage matériel et ainsi fait baisser l’autonomie des appareils. Enfin il termine en précisant que Flash n’a jamais été étudié pour le tactil Le communiqué de presse dénonce en 6 points les faiblesses à l’encontre de la technologie d’Adobe. 
Steve Jobs dénonce le coté exclusif d’adobe. Il souligne que des alternatives plus avantageuses existent. De plus, les performances du logiciel sur les appareils mobiles d’Apple ne sont pas suffisantes. Steve Jobs fait référence à l’étude de Symantec annonçant Flash comme l’un des pires records en matière de sécurité sur l’année 2009. Le PDG ajoute que le décodage logiciel des animations Flash demande plus de  puissance que le décodage matériel et ainsi fait baisser l’autonomie des appareils. Enfin il termine en précisant que Flash n’a jamais été étudié pour le tactile. Des bruits de couloirs annoncent le PDF comme source du différend entre Apple et Adobe. Steve Jobs ne serait pas disposé à accepter Flash sur l’iPhone tant qu’Adobe n’abandonnerait pas sa revendication au sujet de la présence du PDF sur le mobile. Une réponse exemplaire en terme de moyen de communication Shantanu Narayen, répond à ces accusations en rappelant que la première fonction des outils est de créer un contenu s’adaptant à un maximum de plateforme. Le PDG d’Adobe souligne que les critiques d’Apple cachent pour ce dernier une volonté de gagner des parts de marché avec les produits de Cupertino. Les imputations au sujet des faiblesses techniques sont rejetées sur la technologie Mac OS X. Une campagne de publicité à tonalité humoristique à été lancée par Adobe pour contrecarré les accusations d’Apple. L’affiche « We love Apple » et associée à une liste de points appréciés ou non par Adobe. « Nous aimons la créativité…Ce que nous n’aimons pas, c’est que quelqu’un vienne vous enlever votre liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et ce que vous vivez sur le web » Ces propos ont pour objectif de mettre en exergue la nécessite de laisser les internautes accéder à leurs contenus et applications favoris quelque soit l’ordinateur, l’appareil mobile ou le navigateur utilisé. Ainsi adobe dénonce la volonté pour Apple de devenir un monopole en matière de Smartphone en favorisant ses propres outils. Aucun terrain d’entente n’étant été trouvé Kevin Lynch, directeur Technique d’Adobe confirme dans son article : Aller de l’avant que Flash ne sera pas présent sur l’iPhone. Il exprime son impatience à  fournir Flash Player 10.1 pour Smartphones Androïde.

Depuis plusieurs semaines la guerre entre Adobe et Apple au sujet de Flash fait rage. Le jeudi 29 avril, le PDG d’Apple, Steve Jobs publie une lettre ouverte intitulée: « Réflexion sur Flash« . Cette argumentation a pour objectif d’expliquer la non présence de Flash sur l’iPhone, l’iPod et l’iPad. La déclaration forme le point de départ du règlement de compte à ciel ouvert des deux compagnies.

Le communiqué de presse dénonce en 6 points les faiblesses à l’encontre de la technologie d’Adobe. Il souligne le coté exclusif de la marque en rappelant que des alternatives plus avantageuses existent. De plus, les performances du logiciel sur les appareils mobiles d’Apple ne sont pas suffisantes. Steve Jobs fait référence à l’étude de Symantec annonçant Flash comme l’un des pires records en matière de sécurité sur l’année 2009. Le PDG ajoute que le décodage logiciel des animations Flash demande plus de puissance que le décodage matériel et fait ainsi baisser l’autonomie des appareils. Enfin il termine en précisant que Flash n’a jamais été étudié pour le tactile.

Des bruits de couloirs annoncent le PDF comme source du différend entre Apple et Adobe. Steve Jobs ne serait pas disposé à accepter Flash sur l’iPhone tant qu’Adobe n’abandonnerait pas sa revendication au sujet de la présence du PDF sur le mobile.

Une réponse exemplaire en terme de moyens de communication

Shantanu Narayen répond à ces accusations en rappelant que la première fonction des outils est de créer un contenu adapté à un maximum de plateformes. Le PDG d’Adobe souligne que les critiques d’Apple cachent pour ce dernier une volonté de gagner des parts de marché avec les produits de Cupertino. Les imputations au sujet des faiblesses techniques sont rejetées sur la technologie Mac OS X.

Une campagne de publicité à tonalité humoristique à été lancée par Adobe pour contrecarrer ces accusations d’Apple. L’affiche « We love Apple » est associée à une liste de points appréciés ou non par Adobe. « Nous aimons la créativité… Ce que nous n’aimons pas, c’est que quelqu’un vienne vous enlever votre liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et ce que vous vivez sur le web » Ces propos ont pour objectif de mettre en exergue la nécessité de laisser les internautes accéder à leurs contenus et applications favoris quelque soit l’ordinateur, l’appareil mobile ou le navigateur utilisé. Le choix de communiquer sur ce désaccord et non sur la nouvelle suite CS 5 apparait surprenant.

Ainsi Adobe dénonce la volonté pour Apple de devenir un monopole en matière de Smartphone en favorisant ses propres outils.

Aucun terrain d’entente n’ayant été trouvé, Kevin Lynch, directeur Technique d’Adobe, confirme dans son article : « Aller de l’avant » que Flash ne sera pas présent sur l’iPhone. Il exprime son impatience à  fournir Flash Player 10.1 pour Smartphones Androïde.

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