Si vous voulez optimiser fiscalement l’aide apportée à votre fils à la tête d’une entreprise en difficulté, vous pouvez par exemple choisir le don personnel dans la limite des abattements et réductions prévus par la loi. Vous pouvez aussi investir dans son entreprise, par le biais d’une souscription à son capital, et bénéficier des réductions d’impôt sur le revenu ou d’ISF accordées aux investissements dans les PME. En revanche, vous ne pourrez pas déduire une hypothétique pension au titre de l’obligation alimentaire, dans la mesure où les difficultés rencontrées par l’entreprise de votre fils, voire son dépôt de bilan, ne sont pas en soi des preuves suffisantes d’un état de nécessité à titre personnel
