Le 26 mai 1940, les embouteillages sont partout dans les faubourgs de la Ville.
Les différentes armes s'emmêlent...
Les hommes sont exténués.
Le bataillon de Jenoudet ne compte plus qu'une centaine d'hommes. Il s'installe dans la briqueterie de la Porte de Béthune
D'autres soldats prennent position dans les écoles de la rue Verhaeren...
C'était il y a soixante dix ans, raconté par Pierre Porthault. à suivre
