Depuis des années, on sait que les médecins doivent accepter que les infirmières accomplissent plus d'actes médicaux, que les techniciens et les infirmières auxiliaires doivent prendre une partie de la tâche des infirmières, et ainsi de suite jusqu'aux préposés. Chaque fois qu'une tâche est ainsi déléguée, le système fait des économies. Les pharmaciens pourraient également déléguer certains pouvoirs de prescription. Or, malgré les bonnes intentions déclarées, ce dossier progresse peu, victime des corporatismes rivaux. Chères corporations professionnelles, tout en demandant aux contribuables de payer encore plus, faites donc preuve de plus de flexibilité s.v.p.! --- Françoise Bertrand
