Alors aujourd’hui, après cette rude journée de labeur, pour le retour au logis près de l’ordi, je fais le vœu que réel et imaginaire se côtoient longtemps dans une relative harmonie car il est des routes, des couleurs, des saisons à ne pas rêver, car il est des mots à dire, des émotions à vivre. Des maisons qui s'ouvrent quand d'autres se ferment. Il est des cartes à tirer. Des cartes irrésistibles, aux dos glacés, aux tranches dorées, familles indispensables à reconstituer...
Comprenne qui pourra après ces trois "jeux".
La vie n'est rien qu'un "je", décliné, conjugué :
je veux, je fais, je peux...
La vie est à vivre debout,
surtout pas
à ge-noux...