Si toi aussi (oui, toi, qui te cache derrière ton ordinateur, je t’ai vu), comme Deubeûliou, tu aimes L’actu me les brise, le blogue qui ne casse rien, il faut quand même que je te dise une ou deux choses qui vont révolutionner ton addiction.
Tout d’abord, je ne sais pas si tu le sais (oui, je te tutoie, je suis chez moi ici, je fais ce que je veux, merdalors !), mais tu peux t’abonner aux idioties du Fouettard. Oui, même t’abonner de nuit si tu veux.
(Je te laisse un temps pour que tu puisses goûter ce délicieux calembour à sa juste valeur…)
(Ok, ok, je te laisse un peu PLUS de temps ; je vois que tu n’es pas très rapide aujourd’hui.)
(C’est bon ? Alors on continue…)
Comme ici on soigne son gauche lectorat, tu as non pas une, mais DEUX possibilités ! Oui, tu as raison, c’est un peu comme les lunettes d’Afflelouche.
Donc, soit tu t’abonnes au flux RSS (en haut à droite, sous le jeu de mots tout pourri), soit tu t’abonnes à l’espèce de niouzeletteûrrr (“ "infolettre” " dans la langue de Molière Marc Lévy) qui se trouve tout à la fin des commentaires (poil à la main).
Et comme on n’est pas chien, tu peux même choisir ce que tu préfères : juste les articles, ou juste les commentaires, ou juste les deux, ou juste leblanc.
Wâlâ.
Ça, c’est pour les billes en informatique.
Pour les autres, c’est-à-dire ce qui ont du temps à perdre avec les nouvelles technologies, il y a… Touïteûûûr ! (Twitter, en français)
Clique dans la colonne de droite sur le petit bonhomme dans sa cage, et tu accèderas à la quintessence sans plomb de l’émerveillement virtuel.
Non seulement tu seras tenu informé en temps réel de la parution de nouveaux articles, petit veinard, mais en plus tu auras droit à un florilège de mes meilleurs pensées et aphorismes (le gaulois), de mes coups de cœur, de mes coups de gueule, et même des moments où je vais aux toilettes. N’est-ce point excitant ? (Arrête de baver, t’en mets partout !)
Et si toi aussi tu as un compte Twitter, alors là, c’est le Nirvana (mais sans Curt Cobain), parce que figure-toi qu’on pourra é-chan-ger (sur tout, sauf sur le moment où je vais aux toilettes).
Alors, heureux, mmmh ?
Bon, maintenant, si tu aimes vraiment ce blogue et que tu décides d’en envoyer le lien à tes amis, collègues de bureau, partenaires de poker ou compagnons de partouze, je ne t’en voudrais pas. Au contraire. Fais tourner, ne te gêne pas.
En revanche, désolé, mais n’espère pas voir Le Fouettard sur Face-de-bouc. Jamais. Je fais de la résistance, c’est trop mal fréquenté :
http://www.facebook.com/georgewbush
(Merci à ma chose de sœur – ma seule abonnée sur Twitter pour l’instant, je lui baise les pieds servilement – pour le lien…)
Maintenant je te laisse, tu as des clics de souris à faire…
La bise et à bientôt.