Il parait que ma pratique de Twitter donne de moi l'image d'une personne aigrie, négative, jamais contente, rongée d'amertume. Lors de la "couverture" par Twitter interposé de la Convention Europe Écologie à la Cigale le 5 juin (Une bonne expérience cela dit, que tous ces points de vue regroupés par le tag #aveenir), on m'a même reproché de ne dire que ce qui n'allait pas. Je n'avais pas non plus envie de me limiter à citer les intervenants.
Mais pourquoi fais-je ça ? Voici .. raisons.
- Je donne mon avis.
- Je dis ce que je veux.
- J'essaie de pointer ce qui ne va pas, ce qui va se débrouille sans moi.
- J'aime l'humour cynique et grinçant, plus facile à pratiquer quand on dénonce que quand on encense.
- Les 140 signes de Twitter sont plus pratiques pour râler que proposer.
J'ai assez mal supporté les réflexions, samedi, du style "tu ne tweetes que négatif, rectifie le tir s'il te plait". Qu'y puis-je si j'ai trouvé que Marie Bové a dit du vent, que Daniel Cohn-Bendit n'a encore rien sorti de concret ? Sauf que quand quelque chose me plaisait vraiment, je l'indiquais.
Mais bon, promis, je vais tâcher de tweeter un peu plus positif. Je vais me faire des shoots de bisounours.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble