Nous nous réjouissons du verdict de la Cour d'appel de Toulouse qui a ramené ce mardi 8 juin 2010 la peine de Mohammed Bellebou, fils de harki de 55 ans à quatre mois de prison ferme, après une condamnation de deux ans en première instance.
Nous félicitons ceux et celles qui ont œuvré et contribué à cet élan de solidarité envers notre compatriote Mohamed Bellebou. Mais aussi, le comité de soutien pour avoir pris la bonne décision de le soutenir. Nous étions atterrés par la lourdeur de la condamnation car elle ne tenait pas compte de la situation individuelle de Mohamed Bellebou. C’est un pupille de la Nation.
Nous souhaiterions féliciter sa famille pour cette excellente nouvelle, et nous souhaitons à Mohamed Bellebou de retrouvé sa liberté assez rapidement.
Je dirais que c'est la même solidarité qu'il faudrait poursuivre pour faire reconnaître la responsabilité de l’abandon volontaire des harkis par le gouvernement français en 1962.