De son noir corsage je devine
Certaines routes moins amères
A d'autres plus assassines
Qui de leur corps flairent l'obscène
Et sur les monts de la vallée j'imagine
Fixé dessus le regard posé
La tendre et mielleuse volupté
D'y poser ma tête douce et câline
Calme sera son âme l'ombre divine
Quand de mon baiser fier et sérieux
J'irai serrer la rigide tétine
Ses doigts serrés au glaive onctueux
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