Quand selon eux une petite trentaine de manifestants rouspètent à juste titre contre les traitements scandaleux et répréhensibles réservés à Skander Vogt et à la victime du tireur fou du tunnel, les flics vaudois se déplacent en nombre plus grand que les manifestants eux-mêmes.
Et procèdent à des contrôles d’identité.
Scandaleuse façon de violer la liberté d’expression la plus élémentaire et de faire du chiffre au faciès ou à l’appartenance politique ou sociale. Du racisme ordinaire de flics ordinaires qui ne comprendront jamais rien à rien.
En plus, c’étaient pour eux des heures comptées double pour pas cher comme effort.
Mots-clés :Vous pouvez lire aussi dans le même ordre d'idées :