Mark Zuckerberg ne souhaite pas lancer une offre initiale d’entrée en bourse de Facebook. À sa place , je ferais la même chose. Dans le contexte actuel, il ne serait pas très surpris du manque d ‘enthousiasme qui se dégagerait et son titre récoltera le quart de ce qu’il s’imaginait il y a quelques mois. Les nombreuses critiques et reproches d’atteinte à la vie privée endommagent sérieusement la réputation de Facebook.
C’est un secret de polichinelle, la société n’est pas un modèle de rentabilité. Les investisseurs étant suffisamment nerveux avec la reprise fragile et la crise de la dette Européenne… on recherche des actions solides avec dividendes et moins de spéculations et de feux d’artifices sans lendemain. Bref, Facebook n’est pas prête à montrer patte blanche et à passer le test de vérification diligente du public.
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