
Les deux premiers tiers du parcours se passaient très bien, mais assez vite, ma descente tourna en une succession de déchaussage et rechaussage un peu trop fréquents, jusqu'à ce qu'il ne me reste littéralement plus de neige sur laquelle je puisse skier. Il m'a alors fallu descendre les 200 derniers mètres de dénivelé super raides parmi les arbres, les buissons et un sentier boueux jusqu'au parking et à ma voiture. Ce fut de loin la partie la plus difficile et la plus dangereuse de la journée, mais pour un skieur aussi « accro » que mois, cela en « valait encore la peine. » Rendez-vous à nouveau sur neige dans moins de cinq mois!