Ô fin d'hiver cruelle
Le verdict est tombé
Le printemps a eu beau naître
Une fleur s'est fanée
Je parcourrais donc seul un été de misère
A deviner ma douleur jamais rassasiée
Comme en l'état que je l'avais laissée naguère
Elégante et fière, venant hanter mes pensées
Bodhi - Sept 2009