Le Syndicat national des acteurs de la récupération d'eau pluviale (SNAREP) a été créé récemment. Il a pour but de « favoriser, développer et promouvoir les systèmes de récupération d’eau de pluie par les professionnels du métier et de veiller au respect des pratiques et de l’éthique inhérente à cette profession ».
Il se propose de :
créer un espace de dialogue, de réflexions, d’échanges, d’initiatives, de revendications et de propositions ;
créer un espace d’informations sur l’ensemble des sujets liés aux professions concernées ;
créer des réseaux relationnels d’entraide professionnelle et de conseils ;
développer des services utiles et variés aux adhérents (support juridique, lettres d’information, formation…) ;
mettre en place une charte qualité.
Une activité qui se développe sur le plan national, une législation en pleine mutation, un lobby de toute évidence très fort et capable d’immobiliser la situation, une écoute toute relative de la part des pouvoirs publics, des contradictions (un crédit d’impôt en face d’une interdiction....) : tel est le constat qui a présidé à la création du SNAREP.
Pour accroître son efficacité et la pertinence de ses propositions, ce nouveau syndicat professionnel souhaite susciter la concertation avec les métiers connexes : artisans plombiers, terrassiers, géologues, couvreurs...
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