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Meurtre barbare sur l'A13, le syndrôme

Publié le 29 juin 2010 par Lheretique

Révulsant, la lecture des sociologues de salon lorsqu'ils justifient la violence dans les cités. Ils trouvent toujours à l'origine des exactions de la racaille des causes sociales. La société est toujours trop sécuritaire. Il faut l'entendre Laurent Muchielli, expliquant que les habitants de Villiers le Bel sont victimes de la politique sécuritaire. Non, en fait, c'est mieux de leur laisser le champ libre, bien sûr.

Ce qui me frappe, dans le crime qui s'est produit sur l'A13, c'est que ce sont, une fois de plus, des voyous issus des cités. En la circonstance, les Mureaux. Toujours des crapules connues pour des faits de violence. Et toujours de la racaille dehors. Tout comme le délinquant relâché immédiatement par les CRS à Belleville. Tout comme les agresseurs du Parc Astérix.

Seul un rapport d'autorité peut avoir raison de la délinquance. Seule la répression systématique peut représenter une véritable barrière à son développement.

Le fossé va se creuser, une fois de plus, entre des bien-pensants, des élites, des journalistes qui vont hurler au loup, nique la police, aux causes sociales de la criminalité sans admettre une bonne fois pour toutes que  le lumpen et le prolétariat, ce n'est pas la même chose.

Un père de famille tabassé à mort par de la vermine, parce que ce n'est pas autre chose que de la vermine. Sous les yeux de la famille, de la mère,de l'épouse, frappées elles aussi.

Il faut un grand procès, des condamnations très lourdes, de toute la bande. Une fois encore, aucun d'entre eux ne doit s'en tirer indemne. La présence, en la circonstance, ne peut être qualifiée de passive, quand bien même certains membres n'auraient pas porté de coups. C'est le règne de la terreur. Le niveau le plus inférieur de la civilisation. Et que l'on ne parle pas de barbares, en réalité, la barbarie n'est qu'une vue de l'esprit en termes historiques. Les peuples ont toujours eu des lois. Les peuples sont politiques, policés au sens où l'entend Aristote. Il existe, malheureusement, des individus qui veulent s'abolir des lois qui valent pour tous, qui veulent faire des autres des untermeschen qui doivent baisser les yeux et se taire devant eux. Pas de pitié, pas de compassion, mais les châtiments les plus stricts et sévères pour ceux-là.

La vermine ne veut tolérer aucune autorité. Il faut lui démontrer que l'autorité est la plus forte, que la loi positive l'emporte sur celle de la jungle, et que la limite prochaine de leur espace vital sera, je l'espère, les barreaux d'une prison.


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