Durban le 20/06/2010
La sécurité de l'équipe de France intercepte un terroriste déterminé à punir son équipe d'être aussi boiteuse.
Il est 22 h lorsque Francis Louise, chômeur picard depuis 2003, suit discrètement le bus de l'équipe de France qui se gare devant un Hôtel de Durban en Afrique du Sud.
Il sait que la coupe du monde n'est pas terminée, que la France a encore un match à assurer et il sait aussi que la venue de ce bus devant ces hôtels n'était pas prévue au programme officiel des bleus.
Il ferme son sac à dos en peau d'impalas et se dirige vers l'établissement où il vient de voir 24 prostituées blacks, précéder les joueurs Français. Il lance alors discrètement son sac sous le bus pendant que les français allègent leurs coucouniettes trop pleines dans l'espoir de courrir plus vite le 22 juin face à l'équipe d'Afrique du Sud.
Un agent de sécurité s'aperçoit alors du geste de l'individu, se rue sur lui, le plaque au sol et appelle des renforts.
La police de Durban délimite alors une zone de sécurité et fait intervenir son service de démineurs spécialisé (un guerrier Zulu équipé d'un bouclier anti-emeute tressé dans de la paille).
Les démineurs seront très rapides à désamorcer la bombe ultra sophistiquée de Francis. Jano Ubukéké le responsable de la section "déminage de Durban" témoigne :
"Nous avons tout de suite compris que la bombe qu'avait préparé ce terroriste Picard était une oeuvre de spécialiste confirmé dans les explosifs. Un système ingénieux qui reliait en fait un chronomètre de Prizee avec une bouteille de coca non light et un tuyau dans lequel etait inséré plusieurs bonbons à la menthe du type 'mentos'. Lors du déclanchement de compte a rebours, le tuyau libérait les bonbons qui, en contact avec le soda, provoqueraient alors une explosion de la bouteille. Malheureusement pour Mr Louise et heureusesement pour le bus de l'équipe de France, ce terroriste, avant de lancer son sac à dos sous le véhicule...avait oublié de le laisser ouvert. La réaction chimique a bien eue lieu mais l'explosion est restée confinée dans le sac ce qui a sauvé également le conducteur qui était à l'avant du bus et en train de regarder une sexetape de Ribery sur son téléphone portable à ce moment précis." En garde à vue actuellement Mr Francis Louise à déclaré à la presse et à son avocat : "-je voulais juste donner un sens a la chanson "qui ne saute pas n'est pas français !"