Les multinationales se trouvent de plus en plus responsables de l’ensemble de leur chaîne logistique. Or le grand changement des dernières décennies semble avoir consisté à construire une « supply chain » qui évite les contraintes environnementales et les droits de l’homme, et réduise ainsi les coûts de fabrication.
Nouvel exemple de la lutte entre la finance internationale et la société ? La première prend toujours la seconde par surprise, mais cette dernière parvient quand même, à long terme, à remettre au pas les contrevenants ?
Compléments :
- Mes réflexions ont été suscitées par The other oil spill.