Si l'on veut améliorer notre système de santé, il conviendrait de garder la gestion aussi légère que possible et d'attaquer les nombreux problèmes connus: le gaspillage des ressources dû à l'absence du dossier informatisé reliant les points de service, le gaspillage d'argent résultant d'une politique du médicament chaotique, le gaspillage engendré par les tergiversations à s'assurer que chaque Québécois ait un médecin omnipraticien, le gaspillage des talents en ne permettant pas une utilisation raisonnée de la médecine privée. ---Jana Havrankova, Médecin, Saint-Lambert