Girard l'a promis pour la prochaine "Nuit blanche" : elle va "magnifier l’intime contre le spectaculaire et le bling bling, avec l’exigence du fond".
Il s'agit de se démarquer des éditions précédentes ?
Ou bien de souligner l'efficacité de l'"intime" des cambrioleurs contre le "bling-bling" des alarmes en panne du musée d'art moderne ?
Ou de faire des économies pour renflouer le 104 ou la Maison des métallos, en déficit chronique dès leur inauguration ?
Bah, si le fond a des exigences, peut-être vaudra-t-il mieux ne pas le toucher ?