L’institution pue déjà en temps normal. Intrigues, coups bas et autres règlements de comptes polluent en permanence son fonctionnement féodal de petits roitelets rondelets et en général très simplets.
Et voici maintenant que l’arroseur Zappelli porte plainte …. et prétend espérer donc que sa justice trouve le mouchard qui lui en veut : on croit rêver quand on connaît l’incapacité du pouvoir judiciaire à additionner deux pommes et deux poires et surtout à pratiquer un semblant d’autocritique.
Ils devraient engager les ministres français démissionnaires, ça rajeunirait l’état d’esprit et pimenterait la chronique des faits divers.
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