1105. Je n'ai pas encore vu le troisième volet qui était le plus faible mais j'avais adoré les deux premiers de Shrek, le gentil ogre de Dreamworks.
L'épisode quatre revient au début de la légende sous l'angle du "Et si ?". Et si tout ne s'était pas déroulé comme dans le premier épisode, quel serait le monde de Shrek ? Partant de ce postulat, Mike Mitchell nous fait vivre dans un monde parallèle et donne un bon coup de frais à la licence du géant vert.
Comme diraient les frères Bogdanoff, les jumeaux de l'espace qui viennent de fêter leur 61 ans, on nage en pleine théorie du chaos, qui "traite des systèmes dynamiques rigoureusement déterministes, mais qui présentent un phénomène fondamental d'instabilité appelé 'sensibilité aux conditions initiales' qui, modulant une propriété supplémentaire de récurrence, les rend non prédictibles en pratique sur le long terme". En bref, un bon Shrek comme on aimerait en voir plus souvent !
"Shrek 4 Il était une Fin" de Mike Mitchell avec Mike Meyers, Cameron Diaz, Eddie Murphy et Antonio Banderas