Magazine Humeur

Tour de France (1)

Publié le 10 juillet 2010 par Ep2c @jeanclp

Ville de Vannes.

Conseil municipal du 2 juillet :Théâtre Anne de Bretagne,enfin un statut juridique.

Depuis plusieurs années, nous sommes dans l’attente d’un statut juridique. Cet étape est essentielle à l’obtention future d’une scène conventionnée ou nationale.

Cependant, Nicolas LE QUINTREC interroge le Maire sur la pertinence des choix opérés.


"Le choix du statut d’établissement public local (EPL) m’interroge. Celui-ci sied davantage à des exploitations de type Parcs à thèmes à l’instar du Futuroscope ainsi que pour l’évènementiel comme « La Folle journée de Nantes ».
Pour un théâtre sans l’activité du Palais des Arts et, qui plus est, avec l’objectif de devenir Théâtre intercommunal (projet en cours d’élaboration à Vannes Agglo), il semble plus approprié d’opter pour l’EPCC (Etablissement public de coopération culturelle).
D’ailleurs, je crois savoir qu’en 2006 pendant les travaux de rénovation de la grande salle, le Directeur du Théâtre, de la Musique et de la Danse du Ministère conseillait de créer un EPCC.
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 Département des Hauts-de-Seine

Réunion des acteurs culturels des Hauts-de-Seine le 4 octobre à Bagneux

Madame, Monsieur,

 

Le 6 mai dernier, nous vous invitions à une rencontre départementale des acteurs et actrices de la vie culturelle dans les Hauts-de-Seine.

Plus de 80 personnes, artistes, techniciens, salariés, bénévoles de structures culturelles, élus et citoyens des Hauts-de-Seine, se sont donc réunis, au conservatoire Edgar-Varèse de Gennevilliers, avec Jack RALITE, Sénateur, ancien Ministre, et de Michel DUFFOUR, ancien Secrétaire d'État.

Nous avons échangé sur les dangers des réformes actuelles du gouvernement pour les arts et la culture dans les Hauts-de-Seine et en France. Les inquiétudes sont très vives face à cette politique dévastatrice: absence de toute ambition dans la politique culturelle de l’état, asphyxie financière des collectivités territoriales, RGPP, remise en cause de missions essentielles du Ministère de la Culture…

Lors de ce riche débat, impossible à résumer ici, Jack Ralite a dénoncé le détricotage de tout ce qui fut bâti sur plusieurs décennies par les acteurs culturels et les politiques publiques, et qui demeure en dépit des insuffisances un acquis que nos voisins européens nous envient. En continuité de tous ses combats, Jack a appelé le monde de la création artistique à « se retrouver, se regrouper et se rassembler pour faire front ensemble face aux attaques contre les arts et la culture ».

(...)

Pour continuer le débat, échanger les avis et les informations sur les questions de culture et de création artistique dans les Hauts-de-Seine, nous avons proposé à l’ensemble des acteurs culturels du département de se retrouver sur internet via un groupe de discussion et de partage accessible à tous : http://groups.google.fr/group/culture92

Nous vous proposons de poursuivre ces rencontres, qui s’avèrent d’une grande richesse, pour approfondir ensemble les questions les plus décisives.

(...)

Nous remercions Michel Duffour, ancien secrétaire d’Etat, qui suite à notre rencontre de Gennevilliers nous accompagne dans ce travail de réflexion et d’échange sur notre département.

Nous vous proposons de nous retrouver pour une nouvelle réunion lundi 4 octobre 2010 à 19h à la Maison de la Musique et de la Danse de Bagneux pour avoir un échange sur les enjeux d’une politique culturelle départementale.

Patrice Leclerc et Patrick Alexanian, Conseillers généraux des Hauts-de-Seine

Lire l'article sur le blog de Patrick Alexanian

Le Havre

Quelle stratégie culturelle pour la treizième ville de France ? La question était au centre des premières Assises de la culture du Havre qui se sont tenues dernièrement, sous le chapiteau de Magic Mirror installé dans les quartiers Sud, en présence de nombreux artistes et acteurs culturels. Pour définir cette stratégie, la Ville a voulu créer un « lieu de réflexion collective et d’expression des attentes respectives des participants ». Car, a rappelé en introduction son maire Antoine Rufenacht (UMP), « les relations entre les politiques et les acteurs culturels sont difficiles, complexes, dans une incompréhension réciproque : on reproche toujours aux politiques de ne pas apporter assez de moyens financiers, et les politiques voient dans les acteurs de la vie publique un monde turbulent, qu’ils aimeraient mieux cadrer ».

Le débat est donc lancé, en toile de fond de la recomposition urbaine liée au futur tramway et d’importants chantiers de reconfiguration des équipements culturels. Parmi eux, la fermeture contestée du cinéma art et essais l’Eden et de la salle de spectacles du petit Volcan, respectivement transformés en salle de répétition et en médiathèque.

Ainsi, la municipalité veut « donner un nouvel élan à la vie culturelle et afficher un véritable volontarisme », annonce Antoine Rufenacht. Trois raisons à cette nouvelle ambition : le projet du Grand Paris doté d’une façade maritime exige au Havre « une vie culturelle et universitaire forte » ; le développement des échanges internationaux doit faire du Havre « un nœud culturel très fort et un lieu d’échanges entre des cultures différentes » ; enfin, la rénovation du Volcan Scène nationale doit transformer « le trou Niemeyer en Volcan en ébullition ». Le tout s’inscrivant dans le brassage social et intergénérationnel favorisé, selon le maire, par l’arrivée du tramway. Alors, la Ville consulte. « La politique culturelle, vous la ferez avec nous », a assuré vendredi Chantal Ernoult, adjointe à la culture. Cette démarche de démocratie participative s’est déroulée de février à avril, au fil d’une dizaine de Cafés Culture réunissant professionnels, associations, élus…

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 Source : ANI
Date : 6/07/2010 16:26
AVERTISSEMENT © Toutes les informations contenues dans cette dépêche sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l’ANI.



Commission Culture du Sénat.

Le Rapport d’information de la sénatrice Françoise FÉRAT, au nom de la commission de la culture du Sénat, vient d’être rendu public. 

Dans ce rapport, le rôle incontournable du Centre des monuments nationaux est réaffirmé et des « principes de précaution pour éviter la barderie du patrimoine » établis. les sénateurs proposent dans ce sens dix mesures qui feront l’objet d’une proposition de loi qui sera déposée au cours de la prochaine session parlementaire.

Les 10 propositions de la commission de la culture du Sénat :

Les propositions de la commission visant à définir ce principe de précaution sont fondées sur
trois constats :

Des carences dans la mise en oeuvre et le suivi de la première vague de transferts, qui ont pesé sur les collectivités les plus modestes. Environ un tiers des collectivités ayant bénéficié d’un transfert ont répondu au questionnaire du groupe de travail dont l’objectif était d’établir un premier bilan.

Des inquiétudes relatives à l’application des règles de la domanialité publique. Compte tenu des objectifs de développement économique s’imposant au CMN comme aux autres acteurs culturels, la commission craint de voir naître une conception patrimoniale tendant à « découper » les monuments historiques en fonction de leur utilisation, et par conséquent le déclassement des parcelles qui ne seraient pas directement affectées à un service public culturel.

Les polémiques nées de la mise en oeuvre de la politique immobilière de l’État dont le cas de l’Hôtel de la Marine illustre l’importance. Parmi les biens vendus figurent des monuments historiques qui ne sont pas répertoriés en tant que tels et dont la signification patrimoniale et symbolique n’est pas prise en compte. La commission de la culture du Sénat ne peut accepter que l’État donne le sentiment de brader son patrimoine au détriment d’une politique patrimoniale nationale cohérente

Lire la note sur le blog de Benoît de Sagazan



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