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LePost.fr est entré, de plein pied, dans la déchéance des idées et dans la corruption idéologique.

Publié le 14 juillet 2010 par Raymond_matabosch

LePost.fr est entré, de plein pied, dans la déchéance des idées et dans la corruption idéologique.

Dans le Petit Champignon illustré, à la date du mardi, 29 avril 2008, il pouvait se lire : « Le Post est la poubelle par excellence de l'Internet francophone : on y trouve tout, du foot, des peoples bling-bling et cocaïnés, de la Nouvelle Star Academy Eurovision, un peu de politique politicienne par petites phrases sans grandes analyses, du spectaculaire pour beaufs, du vidéo-gag à deux balles, et puis surtout du fait-divers bien trash (un peu comme dans l'Oignon où l'on consacre chaque jour une demi-page à la femme qui a coupé le sexe de son compagnon), parce que le fait-divers fait vendre ! C'est un mélange de Bild, du Mirror, du Sun, d'Ici-Paris, de Détective, de l'Equipe et de Podium ou de Hit-Magazine. Aux commandes, une équipe de jeunes journalistes plus ou moins illettrés qui reprennent sans vergogne ce que les autres publient dans leurs journaux ou ce que des blogueurs en mal de célébrité veulent mettre en avant... »

Et le journaliste terminait ainsi son papier : « Bref, les choix éditoriaux du Post (foot, gonzesses, sexe, people, politique de caniveau, star'ac, blagues de potes, faits-divers trash et casimirisme généralisé) portent en eux-mêmes de futures dérives populistes, populacières et putassières... »

Auquel article, Benoît Raphaël, rédacteur en chef de LePost.fr, répliquait dans les commentaires : « Le Post est un site grand public, qui traite de tous les sujets, qui ouvre des conversations autour de l’actualité. Et, oui, nous y traitons des faits-divers, nous y parlons aussi politique, nous détectons et décryptons les buzz sur Internet. Nous abordons l’info sous son angle local, sous l’angle du témoignage. Et, oui, nous n’avons pas de problème avec le fait d’évoquer des sujets plus légers, parce qu’ils font partie de nos thèmes de conversation de tous les jours. La légèreté n’a rien à voir avec la bêtise et la médiocrité. Ce sont les oeillères et les idées reçues qui sont la marque d’une intelligence limitée. »

Le 3 Décembre 2009, novövision publiait Pourquoi je ne suis pas candidat au rachat de lepost, un long article où il pouvait, en autre, s'y lire : « ...Le Figaro serait intéressé (« au Figaro, sûrement pas ! », répondait pourtant Jannet aussitôt…) et depuis les candidats ne cessent de se faire connaître (sans parler de ceux qui restent discrets…). C’est Emmanuel Paquette, dans Les Echos, qui vendait la mèche hier ( Reprise du site Le Post : le tandem Bergé-Rosselin se porte candidat), vite relayé sur L’expansion (et NetEco) par Jérôme Bouteiller (Les candidatures se multiplient pour la reprise de LePost.fr) et Julie de la Brosse (Pourquoi le Monde songe à divorcer du Post), ainsi que par Le Journal du net (Rentabiliweb et Pierre Chappaz candidats au rachat du Post). Nous voilà donc avec cinq candidats putatifs au rachat hypothétique : un « fonds d’investissement » mystérieux, le groupe Le Figaro, le groupe Rentabiliweb, de Jean-Baptiste Descroix-Vernier, le tandem Jacques Rosselin-Pierre Bergé, et enfin l’entrepreneur fondateur de Wikio Pierre Chappaz. Pour l’heure, à ma connaissance, seuls Jacques Rosselin (Jacques Rosselin dans les Echos et Pierre Bergé dans les échos) et Pierre Chappaz (Pierre Chappaz sur son blog) confirment officiellement leur intérêt pour l’affaire… »

Mais dans le corps de ce papier journalistique on y lit aussi que dans un article intitulé « Lepost/Le Monde : Le choc des cultures », Charles Bourget, s'exprimant dans un commentaire y déclare : « Je suis effrayé par le concept de ce type de média. la logique du pseudo, des “informations” au conditionnel données par tout le monde, des réactions insensées, gratuites, sous prétexte de liberté d’expression. Je n’ose pas imaginer les dégâts que peut causer cette nouvelle forme de journalisme. Le lien en une du monde.fr vers le post.fr amplifie encore la confusion sur la valeur de l’information. J’ai 3 jeunes enfants, j’espère que les professeurs et nous les parents sommes armés pour éduquer à l’esprit critique car les dégâts seront considérables. Nous construisons une génération de la défiance, de la délation, de la rumeur et de la calomnie. »

Si l'on se penche plus expressément sur certains articles du « Lepost.fr » Pourquoi mon post a-t-il été supprimé ? où l'on fait référence à la charte du post,fr et à la LOI, plus spécifiquement en relation avec les problèmes de certains avec la modération on peut y lire, toutes idées confondues, un petit panel non exhaustif :

- le posteur : face aux abus de pouvoir

- Au secours, je ne comprends plus rien aux réactions du Post !!!

- "Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur." et la censure souvent, est nous faire bien d'honneur !

- Il n'y a aucune censure juste qu'un peu de modération ?

- Tag Modération etc... etc...

Ces jours derniers j'ai posté quelques articles sur l'actualité brûlante et j'ai vu bon nombre de commentaires et une majorité de mes réponses à un certains nombre de commentaires qui sont passés à la trappe et qui, au motif non conforme à la charte du post,fr, ont totalement disparu, alors j'ai posté, sous mes articles, un Nota Béne ainsi rédigé : « Je ne nettoie pas au karcher les commentaires qui sont posés sous mes articles, chacun ayant droit de s'exprimer comme il le désire... J'ai aussi, pour habitude de répondre à chacun d'eux... Un certain nombre de posteurs, indélicats, ont, eux, pour habitude de poster des commentaires indélicats, injurieux, voire ignominieux... et ne trouvent rien de mieux que de s'adresser à la modération pour faire censurer les réponses qui leur sont données... Une drôle de démocratie qu'ils prônent... Aussi, me refusant à cautionner leur comportement incongru, je réfute systématiquement leurs commentaires dès l'instant où ils ont fait censurer les réponses qui leur sont données... Que chacun le sache... car le sujet est brûlant et dans ce monde de corruption ni la DROITE ni la GAUCHE ne sont épargnées par cette manière d'être et comme je condamne l'une et l'autre cela ne plaît pas à ceux qui portent des oeillères... car... faire haro sur le baudet c'est sur tous les baudets qu'il faut le faire afin qu'en 2012 tous les corrompus soient dans l'interdiction totale de gérer la France... Et abattre un homme dans un monde corrompu et le remplacer par un clone tout autant corrompu... les français sont bien des petites gens. En effet, Il ne faut pas oublier que si les richissimes peuvent toujours financer les partis et les femmes et les hommes politiques, nous le devons à une loi qui a été votée en 1992 et qui n'a toujours pas été abrogée... A l'automne 1992, Le gouvernement présente un projet de loi interdisant aux personnes morales, en particulier les entreprises, de consentir des dons, tant aux candidats qu'aux partis politiques mais, le Parlement, à majorité de gauche, se prononce pour le maintien du financement privé des partis... Alors les femmes et les hommes politiques corrompus ne sont-ils pas de tous bords ? Et combien profitent de ces mannes ? N'est-ce pas aussi condamnable ? Comme en 2010 nous sommes dans un monde corrompu et les corrompus s'entredéchirent entre eux pour l'obtention du pouvoir... Et ces corrompus, qu'importe leur couleur politique, ne peuvent pas gérer la France... car, si rien n'est fait, la FRANCE sera toujours corrompue par ses plus hautes instances... Aussi faut-il profiter de cette affaire Bettencourt, vraiment nauséeuse, pour virer tous les corrompus qui s'entredéchirent pour l'obtention du pouvoir... et alors peut-être... »

Et je me suis tenu à mon Nota Béne et un certains nombre de posteurs en ont fait les frais car ils avaient fait modérer mes réponses. Je ne les citerai pas car, à les compter, les doigts d'une main, voire de deux, ne seraient pas assez nombreux et ne le permettraient pas. En fait, Serions nous revenus dans les années 30 en France « ces posteurs » sévissent sous deux ou plusieurs pseudos pour commettre leurs forfaits afin de laisser, seulement, en exergue leurs propres idées tendancieuses et dirigistes vers une seule couleur politique ce qui est dommageable et contraire à la démocratie et à la liberté de s'exprimer, deux valeurs qu'ils clament haut et fort.

Malheureusement la modération se laisse abuser par ces drôles d'énergumènes peu scrupuleux, indélicats, injurieux, calomnieux, voire ignominieux..., le post,fr en étant totalement larvé.

Alors je conclurai, comme l'a écrit son rédacteur en chef, Benoît Raphaël, en ces termes : « Ce sont les œillères et les idées reçues qui sont la marque d’une intelligence limitée. » , une intelligence limitée qui opère au karcher et qui pourrit lepost.fr à tous les niveaux.

Cela est tellement vrai que j'ai posté, à la suite, deux nouveaux articles :

http://www.lepost.fr/article/2010/07/14/2151523_a-quoi-jouent-les-politiques-les-financiers-les-industriels-et-les-journalistes-qui-nous-gouvernent_1_0_1.html

http://www.lepost.fr/article/2010/07/14/2151702_les-personnalites-politiques-francaises-agents-dues-maitres-du-monde_1_0_1.html

tous deux censurés à la demande d'un groupe oeuvrant pour un potentiel candidat aux prochaines présidentielles, homme ? ou femme ? Mais être candidat aux Présidentielles de 2012, n'est-ce qu'un désir... d'avenir... ?

Les deux articles censurés sur LePost.fr :

Le Premier : A quoi jouent les politiques, les financiers, les industriels et les journalistes qui nous gouvernent :

LePost.fr est entré, de plein pied, dans la déchéance des idées et dans la corruption idéologique.

Le Club Le SIECLE

Constitution :

Ce "Club", fondé en 1944 par le journaliste radical-socialiste et franc-maçon Georges Bérard-Quélin (1917-1990) (également fondateur de la "Société Générale de Presse", qui édite des lettres d'information professionnelle confidentielles comme entre autres "La Correspondance de la presse" et "Le Bulletin Quotidien") est parmi l'un des cercles privés les plus selects de Paris. D'une façon générale, peu importe les opinions politiques ou les croyances religieuses des postulants. Il convient avant tout d'être honorable en tous points, de respecter les valeurs démocratiques et républicaines, d'être à un poste d'influence au sein de la société, d'être en relation avec des réseaux d'influence, d'avoir reçu une bonne éducation mondaine, et bien entendu d'avoir envie de se retrouver entre "gens de qualité".

Objet officiel :

Selon les statuts officiels, déposés le 7 mars 1945, qui en font une "association loi 1901", l'objet de l'association (à caractère social) est de "créer un pont entre des mondes qui s'ignorent trop en France" et de "renforcer les chances de succès des jeunes en les faisant se connaître et qu'ils puissent s'épauler".

Le Siècle se donne pour but d'abattre les cloisons entre la société politique et la société civile. L'objectif est de créer un endroit de rencontres entre le cercle des hommes politiques et des responsables, choisit parmi les plus représentatif, et les plus influent de la société civile (hommes d'affaires, intellectuels, journalistes,..etc).

Fonctionnement :

La principale façon de procéder et d'organiser régulièrement des dîners, entre les membres du Club. Ces repas réunissant de 250 à 300 personnes, sont organisés chaque quatrième mercredi du mois, de 20h à 23H, au siège de l'Automobile Club de France, situé place de la Concorde à Paris. Les plans de table (en général 7 à 8 personnes par table) sont soigneusement étudiés par le secrétaire général de l'association afin de favoriser les échanges intellectuels, et aussi pour pouvoir jauger les invités prétendant au titre (qui participent à ces dîners pendant une période de probation d'un an, avant leur admission définitive). Avant le dîner, l'apéritif au bar est l'occasion de se parler en toute discrétion. Et de s'échanger: bons plans, informations diverses, petits "services" entre amis et autres "interventions" aimables.

Tous les convives doivent respecter les règles d'or du Club, à savoir la courtoisie et la discrétion, notamment en sachant garder le secret sur la teneur des conversations, ce qui explique entre autres qu'aucun communiste n'a été admis jusqu'en 1981, de crainte sans doute qu'il ne divulgue en cellule du parti quelques petits secrets de banquier ou de politicien s'étant laissé aller à des confidences.

Le Club "Le Siècle" cultive lui-même un certain secret en ne publiant aucun document ou bulletin interne. Jusqu'en 1983, les femmes n'étaient pas admises. Une centaine d'entre-elles en font maintenant partie.

C'est le Conseil d'Administration du Club, composé d'une douzaine d'élus, qui décide des admissions après que les candidatures soumises par les membres, une sorte de parrainage en quelque sorte (personne ne porte personnellement sa candidature) aient trouvé au moins deux parrains au sein du club. Une fois admis, il convient en outre de régler la cotisation annuelle (200 euros par an) ainsi que bien-sûr sa part de l'addition à chaque dîner.

Instigateurs et membres :

Un protocole organisationnel, toujours en vigueur aujourd'hui, a été défini pour faire le choix des membres de plein droit du "Siècle". Auparavant, seuls les personnes nées après 1900 peuvaient en effet devenir membres actifs du Siècle. Les années passant, une nouvelle résolution sera adoptée en 1987 pour fixer la limite d'âge des membres à 66 ans maximum. Une autre résolution, datée de juillet 1999, modifiera également les statuts en stipulant désormais que: "Initialement limitée au 20ème siècle, la durée de l'association est étendue au 21e siècle". Il faut d'abord être coopté par les autres membres et être représentatif d'un milieu professionnel ou d'une sensibilité politique du pays. On ne peut pas vraiment y être admis si l'on a pas compris le jeu des relations sociales et le rôle majeur du carnet d'adresses.

Parmi les membres du Siècle on peut citer :

Bertrand Collomb ; André Lévy-Lang ; Michel Pébereau ; Pierre Bilger ; Gérard Worms président de la banque Rothschild, administrateur de la Société générale de Belgique ; Ernest-Antoine Seillière président du MEDEF, président des holdings Wendel Investissement et CGIP membre du Groupe Bilderberg ; Jean-Claude Trichet président de la Banque Centrale Européenne, ancien gouverneur de la Banque de France, membre du Groupe Bilderberg et de l'IFRI ; Pascal Lamy Directeur de l'OMC, ex Commissaire européen au commerce, membre du Groupe Bilderberg, membre de la branche Europe de la RAND Corporation ; Jean Peyrelevade président du Crédit Lyonnais ; Jean-Yves Haberer ex président du Crédit Lyonnais ; Daniel Bouton président de la Société Générale ; Claude Bébéar ex président d'Axa ; Louis Schweitzer président de Renault, membre du Groupe Bilderberg, de l'IFRI, et du Forum de Davos ; Michel Bon ex président de France Telecom ; Alain de Pouzilhac président d'Havas (groupe de médias et de publicité) ; Maurice Levy président du groupe Publicis ; Édouard de Rothschild banquier, homme d'affaires, principal actionnaire du journal Libération ; Louis Gallois président de la SNCF ; Antoine Guichard PDG du groupe Casino ; Jean-Marie Messier ex PDG de Vivendi ; Martine Aubry membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements socialistes successifs ; Olivier Schrameck directeur de cabinet du premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002 ; Lionel Jospin, membre du Parti Socialiste, premier ministre de 1997 à 2002 ; Dominique Strauss-Kahn membre du Parti Socialiste, ancien ministre des Finances de Lionel Jospin. Membre du Groupe Bilderberg ; Hubert Vedrine, membre du Parti Socialiste, ancien ministre des Affaires étrangères de Lionel Jospin, ancien Secrétaire Général de l'Elysée sous François Mitterrand. Membre du Groupe Bilderberg et de l'IFRI ; Jean-Pierre Chevènement, membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements ; Laurent Fabius, membre du Parti Socialiste, ex premier ministre, ex ministre des finances ; Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements ; Bernard Kouchner membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements de gauche et de droite, membre du Groupe Bilderberg ; Nicolas Sarkozy leader de l'UMP, ministre des finances et de l'intérieur et maintenant président de la république ; Rachida Dati ministre UMP de la justice ; Alain Minc consultant, conseiller auprès de plusieurs grands chefs d'entreprises et de ministres ; Jean-Pierre Raffarin membre de l'UMP, premier ministre de 2002 à 2005 ; Thierry Breton ex PDG de France Telecom, ministre UMP des finances de 2005 à 2007 ; Jean-François Copé ex ministre UMP du budget ; Corinne Lepage ancienne ministre de l'environnement ; Nicole Notat secrétaire général du syndicat CFDT de 1992 à 2002 ; Renaud Denoix de Saint Marc membre du Conseil constitutionnel, ex vice-président du Conseil d'état ; Christian Noyer président de la Banque de France, ex directeur de cabinet d'Edouard Balladur, puis d'Edmond Alphandéry et de Jean Arthuis au ministère des finances ; Richard Decoings directeur de l'Institut d'études politiques de Paris ; Anne-Marie Couderc député UMP et directrice générale du groupe de médias Hachette-Filipacchi; Teresa Cremisi PDG du groupe d'édition Flammarion, ex n°2 des éditions Gallimard ; Odile Jacob présidente des éditions Odile Jacob ; Michèle Cotta ex directrice générale de France 2, et ex-directrice du service politique de France 2, et ex-présidente du CSA ; Anne Sinclair journaliste, productrice TV ; Franz-Olivier Giesbert ex directeur général du Figaro ; Jean-Marie Colombani directeur du journal Le Monde ; Denis Jeambar directeur des éditions du Seuil, ex directeur et éditorialiste du magazine L'Express, ex directeur général d'Europe 1 ; Claude Imbert ex directeur général et éditorialiste du magazine Le Point ; Patrick Poivre d'Arvor journaliste ; David Pujadas journaliste ; Marc Tessier ancien président de France Télévision ; Serge July ex-directeur du journal Libération ; Laurent Joffrin directeur du journal Libération, ex directeur du Nouvel Observateur ; Emmanuel Chain, journaliste, ex présentateur de l'émission économique "Capital" sur M6...

Influence :

En vérité, Le Siècle n'est pas véritablement un "think-thank" ou un groupe d'influence mais plutôt un "cercle mondain" où se cotoient les élites françaises solidaires, à l'intérieur d'un certain "statu quo" politique, social et républicain. Il réunit quelque 550 membres permanents triés sur le volet au sein de la fine fleur des castes politique, économique et médiatique du pays. S'y ajoutent encore environ 200 invités renouvellés chaque année, pour la plupart de nouveaux ambitieux, venant de "corporatisme" de toutes origines, se trouvant distingués par la bonne société. On y retrouve des hauts fonctionnaires, presque tous les patrons des grandes entreprises, des politiciens de droite et de gauche, des banquiers, des magistrats, la plupart des grands dirigeants de la presse, des médias et de la communication, des journalistes "qui font l'opinion", des économistes, quelques universitaires et quelques syndicalistes.

Que cherche les participants :

En majorité, la priorité pour tous les membres, c'est d'avoir un réseau d'influence interne "propre à la France" (en dehors des autres "think tank" comme la Commission Trilatérale, ou le Groupe Birdelberg, qui sont des groupes beaucoup plus "cosmopolite", où plusieurs nationalités différentes se côtoient). A l'intérieur duquel, le pouvoir de faire jouer ses relations et de profiter des réseaux propre à chacun, pour faire évoluer sa propre situation personnelle, tout comme bien-sûr chercher à arranger les affaires, ou faire évoluer la situation de sa propre institution, de sa propre entreprise,...etc.

Le groupe Bilderberg

Constitution :

Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution en mai 1954, sous le nom de "Bilderberg Group", réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas à l'hôtel Bilderberg à Oosterbeek en Hollande (d'où son appellation). Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d'universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s'appellent les Bilderbergers.

Objet officiel :

Construire l'unité occidentale contre l'expansion soviétique.

Fonctionnement secret :

Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte rendu. La presse en est exclue et d'ailleurs il n'existe dans la salle aucune possibilité d'enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique.

Instigateurs et participants :

Jusqu'en 1976 la présidence était éxercée par le prince Bernhard de Lippe, ami des industriels les plus puissants comme le notait Philippe Bernert (L'Aurore, 27 Aoüt 1976), qui ajoutait que le prince regroupait ceux-ci "au sein de l'association "Bilderberg", extraordinaire franc-maçonnerie du monde international de affaires", le terme "affaires" devant être pris dans son acceptation la plus large. Le scandale des pots-de-vins de Lockheed et le "mea culpa" du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group; mais l'organisation n'en poursuivit pas moins ses activités, son "patron" véritable n'étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller.

Ce financier américain mondialement connu est en effet à l'origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celles des personnalités présentes à la conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d'autres noms prestigieux: Retinger, l'instigateur, naturellement; F.D.L. Astor, éditor du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasaki; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA.

Losqu'il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui le chairman pour l'Amérique, tout en présidant le Coucil on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étangères), organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains).

Relations avec les 2 autres groupes secrets :

Les liens qui unissent les trois sociétés secrètes sont si étroits qu'on s'est souvent demandé si lesdites sociétés n'étaient pas les tentacules d'un même monstre...ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale.

Nous avons vu que le financier Rockefeller animait les trois organisations. D'autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple: georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relation Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale) et le dernier en date: Lionel Jospin (Bilderberg); etc.

Influence :

La grande presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux.

La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21,22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).

Le daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient: Helmut Schmidt; Niarchos, le célèbre armateur grec; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique; le président de la Chase Manhattan Bank; etc. Coïncidence: la réunion de Torquay précedait de qulques jours seulement deux sommêts de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN.

Que complotent les participants :

Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l'objet d'indiscrétions qui, confirmées par les évènements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers.

Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre "Une main cachée dirige", les principaux sujets proposés au cours de ces dicrètes délibérations:

- les problèmes financiers internationaux

- la liberté d'émigration et d'immigration

- la libre circulation des produits sans entraves douanières

- l'union économique internationale

- la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées nationales

- la création d'un Parlement international

- la limitation de la souveraineté de états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement supranational

"Cest comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial", conclut Jacques Bordiot.

D'ailleurs, Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR déclara le 17 Février 1950 devant les sénateurs américains: "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".

Les véritables idéologies :

Cette organisation recrute des membres qui adhèrent aux idées précédentes, mais toutes les personnes ne sont pas au courant des idéologies profondes de certains des membres principaux qui font aussi partie des 2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR).

Ces membres particuliers et qui sont d'ailleurs les plus puissants font partie de ce que nous appellerons le "cercle intérieur", le "cercle extérieur" étant l'ensemble des hommes de la finance et de la politique qui sont séduits par l'idée de l'instauration d'un gouvernement mondial qui régulera tout (au niveau politique et économique), sans être conscient des véritables motifs qui poussent le "cercle intérieur" à mettre en place un gouvernement mondial (ce sont des "marionnettes" qui sont utilisées par le cercle intérieur parce que ses membres ne peuvent pas tout changer à eux seuls: ainsi le cercle intérieur et le cercle extérieur agissent en concert mais pas pour les mêmes raisons: le cercle extérieur par désir de s'enrichir ou/et par la croyance qu'un gouvernement unique apportera plus de paix et de cohésion qu'une multitude de petits pays; le cercle intérieur dont les membres sont déjà riches et puissants et dont les visées sont toutes autres: elles sont idéologiques). On peut avoir un aperçu des idéologies des membres du "cercle intérieur" dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruits (armesil.php).

Plus précisément :

Le cercle extérieur est constitué par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent.

Le premier cercle intérieur, dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous-ou ont été- affiliées au CFR. On y retrouve en effet: George W. Ball, Robert Murphy, David Rockefeller, Arthur Dean, Dean Rusk,etc.

Certains de ses membres font partie d'un second cercle intérieur encore plus fermé, le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), dont on sait seulement qu'il comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR, dont le secrétaire général du Bilderberg pour les Etats-Unis, David Rockefeller.

Quel remède ?

La brochure de Robert Camman, Les véritables maîtres du monde, dont le succès a obligé Raymond barre à avouer publiquement (émission "l'heure de vérité" du 4 décembre 1985) qu'il appartenait bien à la trilatérale a mis en garde le Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd'hui, malgré le mutisme des media apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la Trilatérale ou le Bilderberg group.

Tous les noms cités à titre de publicité (auquel nous pouvons ajouter Michel Rocard qui a participé à une des réunions du Bilderberg Group) ne sont pas ceux d'agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont peut-être été trompées (comme par exemple l'ex-député maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau qui figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977 et qui la quitta lorsqu'il se rendit compte de ce qu'était réellement cette mystérieuse société. Il ne figure plus désormais dans l'annuaire de la trilatérale), elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples.

Mais nous sommes bien obligés , si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l'ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer elles-mêmes comme des adversaires. Un Rocard participant empressé du Bilderberg Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs du puissant financier international Rockfeller, seraient impuissants, désarmés, inoffensifs, s'ils n'étaient pas encouragés, épaulés, soutenus,par ces milliers d'honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n'ont pas encore vu le danger qu'ils se représentent. Il est temps de se rendre compte que voter la gauche ou la droite, c'est laisser faire le gouvernement mondial!

La commission Trilatérale

Constitution :

Elle a été fondée en novembre 1972, lorsque devant les réformistes ou colombes du CFR et ceux de Bilderberg (alliés ou ralliés), devant l'expansion du monde asiatique associé au monde occidental, décidèrent de créer une nouvelle organisation discrète coiffant la totalité des nations industrialisées du monde occidental: la "Trilatéral Commission", qui vit donc le jour l'année suivante, en 1973. Son nom provient du triangle des Francs-Maçons, ayant à son sommet les USA (Wall Street) et à sa base le Japon et l'Europe, autrement dit: le Tokyo Stock Echange et la City de Londres. Etant d'origine américaine, elle a son siège aux Etats-Unis (345 East 46th Street, New York).

Objet officiel :

Construire une coopération politique et économique entre l'Europe Occidentale, l'Amérique du Nord et le Japon.

Fonctionnement secret :

Elle est semi-secrète et internationale et réunit en son sein des personnages considérables, le plus souvent affiliés à d'autres sociétés secrètes comme la Franc-maçonnerie, le B'nai B'rith, le Groupe Bilderberg, le CFR, et qui ont entrepris de gouverner, à leur manière, le monde occidental associé au Japon. Les membres de la Trilatérale se recrutent par cooptation, aussi bien dans les cercles financiers et économiques que parmi les politiciens et les patrons de presse. Seul critère: ils doivent être jugés capables de comprendre le grand dessein mondialiste de l'organisation et de travailler utilement à sa réalisation. Son action feutrée, volontairement ignorée des gouvernements et de médias, lui permet de placer aux rouages essentiels des Etats des hommes à elle, d"infiltrer" les hautes sphères du monde occidental.

Instigateurs et participants :

Les instigateurs en sont en autres (les plus importants): David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Henri Kissinger,etc. Parmi les personnages connus des Français, nous pourrons citer quelques noms des participants français du Meeting de Paris en 1989: Claude Imbert, Thierry de Montbrial, Hubert Curien, Jacques Rigaud, Alain Cotta, Raymond Soubie, Robert Lion, Raymond Barre, Roland Dumas, Jacques Delors, Alain Poher, Jacques Chirac, etc. On constatera la présence de personnalités de la Gauche et de la Droite qui ont l'air bien amis. Parmi les autres participants, on pourra citer: Giovanni Agnelli, Georg Büchner, James E. Burke, Isamu Yamashita, Yotaro Kobayashi, E. Gerald Corrigan, Thomas P. Foley, Zbigniew Brzezinski, Manfred Wörner,etc.

Relations avec les 2 autres groupes secrets :

La Trilatérale est formée de la crème du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges francs-maçonnes mondiales. La loi du silence, chère à la mafia, a permis jusqu'ici à la Trilatérale d'agir dans l'ombre, si bien que rares sont les Français qui savent que cette mystérieuse société existe et qu'elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l'économie internationale par l'intermédiaire des affiliés qu'elle compte dans la haute finance, la politique, la diplomatie et l'administration.

Influence :

Les membres de la trilatérale sont, naturellement, démocrates, tout en ayant conscience du danger que la démocratie peut représenter pour leur plan: "Plus un système est démocratique, plus il est exposé à des menaces intrinsèques", notait, dès 1975, un rapport de la Trilatérale sur la "gouvernabilité" des démocraties. L'un des "penseurs" de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n'a pas craint d'écrire: "Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l'homme", et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d'ajouter que: "En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste". Devenu le conseiller -le cornac- du président Carter, lui-même affilié à la Trilatérale, Brzezinski ajoutait: "Encourager les pays en question (notamment la Pologne) à se détacher de l'URSS ne servirait pas la cause de la Paix". Cette collusion des financiers et des communistes illustre bien l'entente contre nature du Grand Capital et de la Révolution que les écrivains indépendants dénoncent depuis plus d'un demi-siècle.

La Trilatérale met en place ses hommes. 2 exemples :

1) Le monde diplomatique soulignait le rôle considérable de la Trilatérale dans l'ascension fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait d'être porté à la Maison Blanche: "La candidature de M/ Jimmy Carter a été préparée de longue main et soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents de la Chase Manhattant Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola, Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, C.B.S.,etc. Ces hommes, avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie, automobile) et seulement dix hommes politiques-dont bien entendu M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter Mondale-, constituent la branche américaine de la "Commission Trilatérale", créée en 1973 par M. Davis Rockefeller et dirigée jusqu'à une date récente par le professeur Zbigniew Brzezinski, principal conseiller de M. Jimmy Carter".

2) Ne nous croyons pas épargnés: en France, la Trilatérale marqua également des points lorsqu'un obscur fonctionnaire international, membre de la Commission unique européenne de la CEE, affecté à la Communauté des affaires économiques et financières, fut brusquement nommé président de la Commission d'étude d'une réforme du financement et du logement (1975), puis ministre du Commerce extérieur (1976) et, peu après, Premier ministre. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1978, étant toujours à Matignon-c'est à dire bénéficiant de l'appui de la machine gouvernementale- que Raymond Barre, membre influent de la Trilatérale Commission, fut enfin élu député français. Tant qu'il fut premier ministre, il eut un rôle insignifiant au sein de la Trilatérale, mais dès qu'il fut libéré de sa charge il reprit du service et assista régulièrement aux réunions internationales et prononça même en 1983 le discours du 10ème anniversaire de la Commission Trilatérale.

Que complotent les participants :

Les ressources financières de la commission sont exclusivement régionales et proviennent des cotisations des membres (entrepeises privées ou publiques, fondations, instituts de recherches, donations, personnes privées) et parfois, mais rarement, des subventions publiques ( ministère des affaires étrangères)... Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent la plupart des affiliés donnent une idée de la puissance dont dispose la mystérieuse société qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé par une oligarchie de technocrates et de financiers. Les affiliés français de la Trilatérale se recrutent aussi bien à gauche qu'au centre ou à droite. Ceux qui se disent de Gauche vantant "l'internationalisme", et ceux qui se disent de Droite vantant le "Mondialisme", les deux appellations nous conduisant au Gouvernement Mondial. Chacun est utilisé en fonction de son idéal et de sa compétence, les membres de Gauche étant employés à détruire la religion, la famille, l'éducation, l'ordre et l'armée, au nom du laïcisme libéral, pacifiste, généreux, égalitaire et de la justice sociale (il faut des slogans porteurs tant pour les manipulés francs-maçons que pour les masses). Les membres de la Droite sont utilisés pour détruire les petites exploitations agricoles, l'artisan, le petit commerce, les PME et le PMI au nom du libéralisme économique et du libre échange, dans l'intérêt, disent-ils, du dynamisme économique, de l'emploi et des consommateurs (toujours les slogans accrocheurs et racoleurs). Les membres du Centre étant utilisés pour détruire le idées de nation et de patriotisme au nom de l'amitié entre les peuples et de l'Humanisme. Le tout couronné par des campagnes soit-disant antifascistes où l'on fait chanter en cœur Droite, Gauche et Centre, en faveur d'un mélange inter-racial, déracinant tous les individus (religion-culture-traditions-langue-histoire), déstabilisant les nations d'Asie (du Bassin Méditerranéen) et d'Europe, qui sont les foyers et les sources de la culture de l'Humanité. Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la puissante Trilatérale en Europe. La présence de M. Barre auprès du président Giscard d'Estaing s'explique d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour cette mystérieuse société. Invité à l'un de ses dîners, le 2 décembre 1975, Jacques Chirac devait définir ainsi la Trilatérale: "C'est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l'une des plus éminentes." Au meeting tenu secrètement en avril 1989 à Paris, après une annonce publique, le socialiste Mitterrand et le libéral Giscard d'Estaing ont fait assaut de courtoisie à l'endroit du chef suprême de la puissante société: le premier a décerné au banquier David Rockefeller le Légion d'Honneur, dont le ruban lui a été remis très officiellement par le second. Cette réunion du comité exécutif de la Trilatérale à Paris succédait à une autre manifestation, non moins significative, qui eut lieu trois mois plus tôt à Moscou. Une délégation conduite notamment par David Rockefeller, Georges Berthoin et Henry Kissinger fut reçue au Kremlin par Mikhaïl Gorbatchev. Une nouvelle branche de la Trilatérale est née trois ans après: l'asiatique. La Russie s'y retrouve avec le Japon et les États-Unis. Cette force économique est désormais aussi stratégique car des militaires participent à ses réunions.

Et pour compléter le tableau...

Parmi les autres groupes de réflexion, organisations, etc... etc..., il y a l'IFRI, La Fondation Sain Simon, Les Organisations des Maitres du Monde.... La Fin Programmée de la Démocratie, Les Agents du Nouvel Ordre Mondial... etc... etc...

Sources:

Pour le Club Le SIECLE : http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-le-club-le-siecle-47546043.html ; http://www.syti.net ; http://www.republique-des-lettres.fr.

Pour Le groupe Bilderberg : Sentinel News n°3 (octobre-novembre-decembre 1996) édité par: Groupe sentinelle 8 rue Bertrand de Vogué 51100 REIMS ; Pascuser ; http://www.conspirovniscience.com/bilder.php

Pour La commission Trilatérale : Sentinel News n°4 (janvier-février-mars 1997) édité par: Groupe sentinelle 8 rue Bertrand de Vogué 51100 REIMS ; Pascuser ; http://www.conspirovniscience.com/trilat.php

Et pour tous les autres groupes de réflexion, organisations, voire sociétés secrètes, entre autres sites internet qui en parlent : http://www.syti.net/Organisations/IFRI.html

Le Second : Les personnalités françaises, agents des Maîtres du Monde :

LePost.fr est entré, de plein pied, dans la déchéance des idées et dans la corruption idéologique.

Pour que le tableau soit achevé et savoir qui est qui dans le monde politique français :

Les agents des Maîtres du Monde en France

La plupart des personnalités des partis politiques, des médias, ou des syndicats sont sous l'influence des organisations des Maîtres du Monde qui orientent ainsi les décisions prises dans un grand nombre de secteurs. Ce sont les agents du Nouvel Ordre Mondial, fidèles relais de la « pensée unique » et du nouvel ordre économique, au-delà de leurs différences apparentes qui donnent l'illusion d'une pluralité du débat public :

Nicolas Sarkozy : UMP
Brice Hortefeux : UMP
Christian Estrosi : UMP
Patrick Devedjian : UMP
Eric Raoult : UMP
Pierre Lellouche : UMP
François Fillon : UMP
Jean-François Copé : UMP
Alain Juppé : UMP
Edouard Balladur : UMP
Valery Giscard d'Estaing : UMP
Raymond Barre : droite libérale
Jean-Pierre Rafarin : UMP
Alain Madelin : UMP
Dominique Strauss-Kahn : PS
Pierre Moscovici : PS
Martine Aubry : PS
Julien Dray : PS
Hubert Vedrine : PS
Lionel Jospin : PS
Jacques Delors : PS
Elisabeth Guigou : PS
Bernard Kouchner : PS
Michel Rocard : PS
Manuel Valls : PS
François Hollande : PS
Jean-Louis Bianco : PS
Jean-Christophe Cambadélis : PS
Daniel Cohn-Bendit : écologiste
Michel Barnier : UMP
Hervé Gaymard : UMP
Jacques Chirac : UMP
Dominique de Villepin : UMP
Christian Blanc : UMP
Bertrand Delanoë : PS
Jean-Louis Borloo : UMP
Jack Lang : PS
Jean-Marc Ayrault : PS
Jean-Jacques Queyranne : PS
Christian Pierret : PS
Christian Sautter : PS
Laurent Fabius : PS
Dominique Voynet : écologiste
Arnaud Montebourg : PS
Jean-Pierre Chevènement : gauche
Vincent Peillon : PS
Ségolène Royal : PS
François Bayrou : MODEM
Corine Lepage : écologiste
Nicolas Dupont-Aignan : UMP
Henri Emmanuelli : PS
Jean-Luc Mélenchon : Parti de Gauche
Noël Mamère : écologiste
Marie-George Buffet : PC
Olivier Besancenot : LCR
José Bové : Confédération paysanne

Sources : Le Nouvel Ordre Mondial. http://www.syti.net/Organisations/IFRI.html


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