Avec l'expérience que j'ai acquise grâce aux patrons Citronille et aux patrons trouvés dans d'autres ouvrages, j'ai taillé à Jean-Baptiste une bermuda en tissu africain (tout à fait d'actualité en ce lendemain de quatorze juillet), pour affronter la canicule. Un clin d'oeil à Pierre Briot qui avait ramené ce métrage de pagne en satin de coton tout à fait authentique..
Quatre morceaux, deux poches latérales, deux fentes en bas des jambes, un élastique plat à la taille....Mais j'avais oublié que ma vieille machine à coudre de 1965 était bien plus difficile à manier que celle de Paris. Quelle galère que le surfilage au point zig-zag...!!!!
Enfin, fondamentalement toutefois, c'est toujours le même principe et on n'a pas trouvé la bonne formule pour le surfilage, sauf une machine spéciale, ou surjeteuse, que je ne suis pas prête à acheter......