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Ostéopathie et facteurs psychologiques déclencheurs

Publié le 16 juillet 2010 par Sophielaurerenee

Nous avons vu Mr Djian (Paris, porte de la Chapelle) aux vacances de la Toussaint 2008 et juste avant Noël).
A l'époque, nous gèrions déjà bien nos allergies mais j'étais allée voir un ostéopathe pour ma petite Louise qui, à 4 ans avait un très fort astigmatisme.
Mon ophtalmologue m'avait dit qu'un ostéo pouvait en effet l'aider à améliorer sa vue (les gros progrès se font d'après ce que j'ai compris avant 6 ans).
Ninon venait d'avoir une poussée d'eczéma sur tout le corps sauf le visage. Cela ne la grattait pas, il était sec et "beau" (= pas infecté, sans croutes) et j'ai profité de ce rendez vous pour Louise pour lui amener Ninon.
En une séance, il a fait disparaitre cette poussée.

Il m'a demandé ce qui s'est passé entre la naissance d'Annaëlle et de Ninon.

De la même manière, il m'a demandé de lui envoyer un mail avec les faits les plus marquants dans l'histoire de ma vie : ma mère, mon père... Je lui ai répondu que j'avais déjà fait une telle démarche et que j'avais résolu les gros problèmes psycho que j'avais traversés. 
J'ai écris le mail.
J'ai pleuré en exprimant ce regret par écrit et tout haut, comme si je parlais à la personne pour qui j'avais ce grand regret et aujourd'hui je me sens soulagée.
J'ai écrit sur cet article à l'époque "peut être je pourrais un jour manger des chips sans que cela me déclenche des démangeaisons et en Juillet 2010 : je viens de me rendre compte que je peux manger des chips désormais sans démangeaison.
J'ai cherché ce qui a bien pu se passer entre la naissance d'Annaëlle et Ninon car alors que jusqu'alors je m'étais attelée essentiellement à l'éviction des allergènes, les cures thermales et surtout l'alimentation, je me disais que le temps est venu d'essayer de creuser la piste "facteurs psycho".
Non pas une thérapie mais seulement se poser les bonnes questions.

Je ne pensais pas trouver une réponse si facilement quand il m'a posé la question et maintenant c'est d'une évidence pour moi (et je n'avais jamais pesé le poids de ce regret à sa juste valeur).
Et en plus je m'en suis libérée, aussi extraordinaire que cela puisse paraitre, je me sens soulagée, sereine.


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