Pour la 1ère fois le Bright, le grand salon des marques de skate, s’intallait sur les terres du cousin germain, le Bread and Butter à Berlin. La guerre de la mode urbaine s’annonçait rude.
Mais pourquoi gâter notre plaisir, quand on aime la mode et les sneakers, nul besoin est de choisir son camp, autant opter pour la théorie du dollar unique qui rafle la mise et prendre une double dose de bonheur.
Comme un petit frère en pleine crise d’adolescence, ce salon se voulait rebelle et indépendant à ses débuts mais au fil du temps la réalité l’a rappelé à l’ordre à grands coups d’euros et il ne garde de ses années collège que ses locaux. En effet, le bright prend ses quartiers dans l’ancienne prison de la STASI, la police politique Est-Allemande. Les exposants errent entre jeunes loups fougueux et vieux routier ayant enfin compris le sens de la vie dans la nature.
Dans tous les cas , le concept est génial, les marques jouent le jeu et on trouve içi et là des pépites qui valent le détour.