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Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

Publié le 21 juillet 2010 par Laviereveedunefee

Je vous dis tout de suite : pas beaucoup d’illustrations car j’ai été fatiguée de l’appareil photo pour tout vous dire. J’attends que les protagonistes de ces vacances mettent des photos sur le serveur créé pour, afin de récupérer les clichés de moi en sirène, de moi bourrée, de moi à poil dans le jacuzzi. Nan je rigole… Presque…

De toute façon, on a pas beaucoup bougé parce qu’on avait une villa de fou qui faisait 3 hectares, avec piscine, jacuzzi, bar d’été avec sono, environ 15 salons d’été différents (version plus classe du salon de jardin), un terrain de boules, un babyfoot, un billard, un lit à baldaquin que j’occupais à loisir… Bref, on a bien pris le soleil dans les transats et bien festoyé la nuit tombée. Preuve en est d’avoir bu du champagne et mangé du caviar dans le jacuzzi le premier soir… OK je sors…

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

Le bar et les transats, près de la piscine

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

La piscine et ses petits canapés pour se cacher

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

Un petit bout de jardin

Mais le mieux dans toute cette histoire, c’est que cette villa est devenue une sorte d’Île de la Tentation remasterisée. Et bien sûr, je fus dans le rôle de la donzelle trompée (ou dans le genre), comme d’hab, puisque j’ai du miel à connards sur le postérieur depuis la nuit des temps. Enfin, si un jour vous partez en vacances avec des russes, belles ou pas d’ailleurs (parce qu’elles cassaient pas des briques pourtant), faites-très attention à votre vie. Sinon, elles se taperont dans l’ordre : votre meilleur ami – le mec qui dort dans votre lit et plus si affinités – tout personne de gent masculine qui serait d’accord pour la culbuter.

Elle était toute seule à faire ce tiercé gagnant, c’est dire si elle a du faire le championnat de grosses traînées. En plus, elle fait ça sous votre nez mais est prête à cacher ses exploits sexuels pour que les copains puissent se taper ses copines, sans que ça foute leurs plans en l’air. Elle partage en plus, la femme parfaite quoi (à part ses espèces de verrues dans le dos, je crois que ça s’appelle l’herpés).

Bref, en plus d’avoir la salle de jeu en feu, ces demoiselles ont joué les princesses, c’est-à-dire ne rien ranger, ne rien débarrasser, ne rien décider, juste prendre 6 douches par jour, changer 10 fois de tenues et nous sortir qu’elles se sentent « prises en otage ». Tu es sûre que c’est « en otage » et pas « comme une chienne » chérie ?

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

La Corse sans pouffes, c'est magnifique

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

J'ai prié sous l'olivier

Le jour où j’ai appris à vivre comme un Corse

Des cactus comme j'en mettrais dans ma future maison

Vous sentez sûrement que je suis sans pitié, ce qui est le cas, elles m’ont gâché mes vacances pendant environ 3 secondes et demie tellement j’avais envie de leur mettre des coups de boule, et j’étais loin de leur cacher mon ressentiment, les pauvres.

Mais je vous rassure, je me suis purement et simplement éclatée parce qu’on a pu faire des médisances avec mes potes que j’avais pas vu depuis un bail, j’ai pu joué avec Kirusha, un an et demi, franco-russe aux yeux bleus de folie, j’ai pu faire des câlins avec mon meilleur ami et fumer 12 000 clopes sans que ma mère m’engueule.

Et vous, des anecdotes merdiques de vacances ?


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