- d’un côté l’euro semble nettement surévalué, par rapport à toutes les monnaies sérieuses, à commencer par le dollar (sur-évaluation de 14%) et encore plus par rapport à la livre (20%) ;
- de l’autre les gouvernements européens n’ont rien à gagner de l’instabilité.
- Quant aux marchés, leur précédente spéculation les a peut-être rendus prudents.
Magazine Société
Il est possible que s’il n’y a plus d’attaque contre la zone euro (billet précédent), c’est que personne n’y a vraiment intérêt :