Une étude montre que de petits événements positifs ou négatifs ont un impact notable sur la productivité du travailleur. Un impact en termes de quantité, mais pas de qualité.
Je me demande si l’existence de ce type d’études ne marque pas l’émergence d’une nouvelle espèce d’individu : celui qui ne comprend que les chiffres et que ce qui parle de productivité.