DANS LE ROCHER MIRIFIQUEMENT durci de larmes
Dans la forêt claire verte mortellement
Ces deux eaux sans théâtre
Etaient les yeux, les yeux jumeaux de la solitude.
(Pierre Jean Jouve)
DANS LE ROCHER MIRIFIQUEMENT durci de larmes
Dans la forêt claire verte mortellement
Ces deux eaux sans théâtre
Etaient les yeux, les yeux jumeaux de la solitude.
(Pierre Jean Jouve)