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Le vitalisme

Publié le 08 août 2010 par Marc84

Le vitalisme

Le vitalisme s’appuie sur dix huit lois. Les lois de Walmer sont dites loi de conservation de la cellule vivante et loi d’impulsion vitale. Une cellule tend à sa propre conservation en mettant en mouvement l’énergie vitale. Cette force n’est ni physique ni chimique mais est générée par tout élément vivant et a pour but la vie.


 

Tout être vivant nécessite des besoins minimum pour satisfaire son développement et sa vie. Tout déséquilibre de besoins est facteur d’apparition de maladie, celle-ci a pour but de réorganiser et de rééquilibrer l’individu. La vie tend à l’équilibre.


 

Chaque organe est interdépendant des autres ceci constituant donc un tout. L’énergie du corps est répartie harmonieusement dans chacun des organes en fonction de leurs besoins spécifiques. Toutefois l’épuisement de l’énergie peut subvenir provoquant ainsi l’affaiblissement  des capacités d’élimination des déchets de l’organisme induisant de ce fait l’apparition de maladies.


 

La maladie est la concrétisation de la présence excessive de déchet ou de substances étrangères à la masse vivante. Ces éléments se retrouvent dans les liquides (lymphe, sang, liquide intracellulaire…) et leur accumulation provoque une toxicité (loi de toxémie de Tilden).


 

Pour conserver un organisme en bonne santé, il est important de respecter l’équilibre entre sa capacité à éliminer et la quantité de déchets à expulser. Tout élément exogène doit être utilisé ou éliminé. Un déséquilibre a pour conséquence l apparition d’une maladie celle-ci peut prendre deux formes (chronique ou aigue) en fonction du potentiel vital de l’organisme. Plus le potentiel est faible plus la maladie évolue vers une forme chronique. Lors d’une accumulation excessive de déchets l’organe possédant le potentiel énergétique le plus élevé sera prioritairement l’organe malade.


 

Le retour à l’équilibre nécessite le passage inverse des différents stades de la maladie. Ce retour à la santé n’est envisageable durablement qu’après suppression totale de la ou des causes de la maladie ainsi que de la dynamisation du pouvoir vital réparateur (processus nécessitant du temps). Ceci induit qu’il est important d’adapter le traitement aux indications fournies par l’organisme et donc d’avoir un traitement global et non symptomatique.


 

Une bonne réaction vitale entraine la guérison, si le potentiel vital est trop faible la maladie devient chronique et si celui-ci est absent c est la mort de l’organisme.


 


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