On apprend, très rapidement et au milieu de la torpeur estivale, que Moody’s réitère ses remarques concernant la notation de la dette française et de trois autres petits pays anecdotiques (Allemagne, Etats-Unis et Grande-Bretagne) : le triple-A, garant de taux bas, d’une dette facile à émettre et d’un poil lustré, n’est pas remis en cause patati, patata, mais tout de même, l’agence estime que « les défis liés aux ajustements budgétaires impliquent que le chemin à parcourir avant un abaissement de la note de ces pays s’est encore réduit« .
En clair, tout va bien, mais la distance avec le tout va mal s’est amenuisée.
Respirez un bon coup.
