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Un jour d'été, alors que le temps n'arrivait pas vraiment à choisir quel chemin prendre, il fut décidé tout la haut, dans les sphères de l'esprit ou ce qui lui tenait éventuellement rigueur, qu'il ne fallait plus souffrir.En ce qui concerne les sentiments ou châtiments corporels, ne pouvant réunir tout le monde en une seule fois, il serait, plus tard...d'un autre jour... l'occasion d'y réfléchir.Mais déjà,et ce n'était pas une mince affaire, vous en conviendrez,qu'envisager à un moment donné et destiné à le faire, que les éléments extérieurs n'arriveraient plus à polluer une certaine tranquillité et plus encore par une alchimie secrète et irrationnelle... à savoir,ne pas se laisser envahir par la colère inutile, le dernier mot de l'histoire et toutes ces manigances d'épicier de soi-même cherchant à se vendre au plus ou moins offrant. Cela n'avait aucune importance d'avoir raison puisque celle-ci n'avait jamais vraiment existé que pour se convaincre de sa suffisance. Aussi,en réponse au présent,laissons donc la place à qui veut la prendre, et prenons de la distance, en sorte, un certain relâchement... quitte à se détacher peu à peu de contingences plus ou moins sérieuses pour envisager pourquoi pas, comme le vent , de changer à l'occasion d'avis, d'ébaucher de nouvelles perspectives avec bien sur aucune garantie de réussite ou et de vérité.L'important- dans la mesure où il existerait- étant d'essayer de se perdre et de s'y retrouver.Le jeudi, , n'étant pas- en équilibre en son milieu de semaine- plus mauvais jour qu'un autre, pour commencer , la réunion pris fin après un vote à l'unanimité moins les absents en vacances ou déjà endormis avant d'y avoir songé.