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Vaincre le Sida : l'homosexualité en question

Publié le 20 août 2010 par Bravepatrie

Deux mois après l’édition 2010 de la Marche des Fiertés malheureusement plus connue sous le nom de Gay Pride et un mois après la conférence internationale sur le Sida tenue à Vienne du 18 au 23 juillet 2010, cette période d’Assomption de la Vierge – ou Dormition, pour nos lecteurs grecs et chypriotes de souche – est l’occasion d’opérer un examen de Vérité sur la responsabilité du comportement des homosexuels dans la propagation de ce fléau.

Depuis 30 ans, 1981 pour être exact, la communauté scientifique sait que l’épidémie mondiale apparut du fait de cinq homosexuels masculins, toxicomanes de surcroît. Depuis, 60 millions de personnes ont été infectées dans le monde et 25 millions en sont décédées. Actuellement, les Africains et les homosexuels restent les populations les plus touchées par le « cancer gay ». De fait, ils s’en font donc les meilleurs et plus efficaces propagateurs.

Roger Karoutchi n’était qu’une victime de la politique d’ « ouverture ».">

Roger Karoutchi n’était qu’une victime de la politique d’ « ouverture ».

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Roger Karoutchi n’était qu’une victime de la politique d’ « ouverture ».

En 2008, le blog Sida info service indiquait déjà qu’en France 38% des nouveaux séropositifs étaient gays, une présentation extrêmement orientée des statistiques par l’association du même, qui préfère la survictimisation d’une minorité responsable à l’objectivité des faits : 62 % des nouveaux séropositifs en France sont bel et bien des hétérosexuels contaminés par le contact des homosexuels et des Noirs, que les politiques de gauche ont largement contribué à faire proliférer sur le territoire national, politiques dont le spectre et les résurgences sporadiques [1] continuent aujourd’hui leur œuvre de mort.

En effet, une épidémie, quelle qu’elle soit, ne peut se résoudre uniquement par l’hypothétique trouvaille d’un vaccin ou d’un traitement : la dimension comportementale s’avère cruciale, et même supérieure aux solutions chimiques, et c’est cette dimension comportementale qui explique que les populations homosexuelles et africaines soient les plus touchées. D’origine africaine, ce virus s’épanouit par la similitude des comportements noirs et gays ; vie sexuelle débridée, impossibilité de modérer les pulsions imprimées par le cerveau reptilien, absence des normes sociales caractéristiques des sociétés civilisées, c’est-à-dire monogamie, fidélité dans le mariage et hétérosexualité.

Les politiques de gauche au service du Sida

Dès 1967, la loi Neuwirth – du nom de Lucien Neuwirth dont le premier acte public avait été de trahir la France en 1942 – autorisait en France la pilule contraceptive, préparant ainsi le terrain pour l’épidémie future comme devait s’en émouvoir alors le député de l’Isère Pierre Volumard : « L’anarchie des mœurs et la facilité décupleront des appétits sans frein... C’est une ouverture aux jeunes des portes de la licence », tel Cassandre prévenant les Troyens du malheur qui s’abattrait sur leur cité s’ils laissaient entrer le fameux cheval d’Ulysse.

Mais c’est l’apparition d’un président de la République socialiste en 1981 qui, coïncidant avec celle du Sida, accéléra de manière exponentielle la propagation de l’épidémie en laissant son ministre de la Justice Robert Badinter faire voter le 27 juillet 1982 la dépénalisation de l’homosexualité par abrogation de l’article 331-2 du code pénal. Enfin, l’instauration par le gouvernement Jospin en 1999 de la parodie de mariage pour les homosexuels, le Pacte civil de solidarité (PACS), en forçant ainsi l’acceptation sociale de l’homosexualité par la normalisation législative, contribue depuis à la dissolution des vraies valeurs tout en encourageant les populations à risques dans leurs pratiques propagationnistes.

Assomption africaine : viols cérémoniels de couples hippies par des nègres sidéens.">

Assomption africaine : viols cérémoniels de couples hippies par des nègres sidéens.

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Assomption africaine : viols cérémoniels de couples hippies par des nègres sidéens.

Tout espoir ne saurait cependant être perdu : la victoire sur une épidémie restant avant tout une question de courage politique, nous pouvons compter sur la ténacité et l’abnégation de Nicolas Sarkozy et de ses fidèles ministres pour œuvrer à l’endiguement, voire à l’extermination du fléau. Et la lutte a commencé tôt et avec humilité, car en incitant les Africains à participer à la croissance intérieure de leur pays d’origine en leur offrant le voyage du retour, la France sauve des centaines de milliers de vies françaises de l’infection virale et comportementale. En proposant de déchoir de la nationalité française les violeurs d’origine immigrée, ce sont encore des centaines de milliers de jeunes femmes françaises qui conserveront non seulement leur vertu mais éviteront ainsi de contaminer leur mari français et hétérosexuel, le viol étant la cause première de contamination par le virus du Sida chez les hétérosexuels.

Le traitement de l’africanité en France s’avère donc décisif pour l’extermination du virus, mais celle-ci ne pourra être définitive qu’en conjuguant ce traitement avec celui des comportements homosexuels, ce qu’a admirablement engagé notre sémillante et néanmoins courageuse ministre de la Santé Roselyne Bachelot en maintenant l’interdiction faite au sang homosexuel de couler dans nos veines à la suite d’une transfusion, écartant ainsi tout risque de contamination, quel qu’il soit. Ne reste plus qu’à l’Assemblée Nationale de déterminer en conscience et dans la vérité les modalités pratiques de la disparition totale et définitive de l’homosexualité en France.

Notes

[1] En témoigne la diffusion massive en France en 2009 du film de propagande gay Harvey Milk de Gus Van Sant.


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