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Marc-Olivier Fogiel : « La politique me passionne ». Entretien

Publié le 23 août 2010 par Planetepeople

Lundi, 23 Août 2010 09:40

Marc Olivier Fogiel La politique me passionne

Marco est de retour au micro d’Europe1.


Il a passé une bonne partie de ses vacances en Corse. Détendu et… bronzé, MOF a répondu aux questions de nos confrères du JDD. Extraits.
« Tomber dans la polémique et la provocation n’est pas nécessaire ».

Marc-Olivier Fogiel est-il encore en vacances ou a-t-il déjà la tête au travail (l’interview a été réalisée juste avant sa reprise) :

MOF : Comme les cancres anxieux, j’ai besoin de remettre la machine en route tranquillement. Je suis déjà reconnecté depuis un petit moment, de mon lieu de vacances.
Au sujet de l’arrivée de Nicolas Demorand :
MOF : La grande nouveauté est l’arrivée de Nicolas Demorand et le retour à une tranche de deux heures d’information en fin de journée, là où la voilure avait été réduite.
Fogiel et la… Provocation :
MOF : Notre regard et notre ton ne sont certainement pas complaisants. Tomber dans la polémique et la provocation n’est pas nécessaire. Mais les choses vont tellement vite que ce qui est à redouter, c’est que la mécanique s’emballe. Les sources de polémique se multiplient et les amalgames avec.
« Être branché sur l’actualité 24 heures sur 24 est galvanisant, usant aussi ».
Avec le lancement de la campagne présidentielle dès septembre, Marc-Olivier Fogiel craint-il la pression politique ?
MOF : Après cinq ans à France Inter, trois à RTL et deux à Europe 1, j’ai déjà une expérience de ce genre de choses. Je ne parlerai pas de pression politique mais de sollicitations qu’il faut savoir gérer. Et hiérarchiser. La politique me passionne. J’ai déjà eu la chance d’animer deux soirées électorales plus les élections américaines.
MOF a-t-il été sollicité au mercato médias ?
Cette année, le mercato s’est déclenché tard. Tout est allé très vite en fin de saison. J’ai moi-même eu des propositions au cœur de l’été. Il était trop tard pour entamer une réflexion de fond. De toute façon, j’ai trouvé un équilibre à Europe 1. Il n’était pas question de fragiliser l’entreprise par un départ. Mon implication est réelle et j’ai des engagements moraux à tenir.
Source ! Le JDD.



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