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Shakira Shavira (chavira) à la fontaine de Barcelone (article 64)

Publié le 26 août 2010 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai, merci.

Les stars ne peuvent plus s'amuser et faire jaillir l'eau avec leur fan...

Y a-t-il dans ce monde... ah misère! Combien de fois me surprendrais-je à écrire, penser, dire, verbaliser, socialiser ce mot "monde"? Comment la justice, oui, comment, mesdames et messieurs, la loi peut-elle balancer une amende quand il n'y a pas matière à du dévergondage, matière à caractère de ce qui est indécent de patauger les mains dans une fontaine?

Je fais allusion à ce cas de Barcelone. Parce que c'est une fontaine bénie par quel saint? Parce que... Non, je m'arrête. À l'émission snorounanne reçoit ce soir, il faut toute ma joie de vivre, donc, ma concentration et je ne peux la ternir avec ces gros titres affichés sur des journaux, des revues, sur internet... Me déconcentrer sur des substances qui n'ont pas d'essence naturelle.

mardi 24 août 20:00

Sous l'emprise des applaudissements, l'émission snorounanne reçoit ce soir débutait: La version française a été "versionnée" du mieux de mes connaissances, mesdames et messieurs.

snorounanne - Merci pour cet accueil, les gens en studio. Vous aurez votre récompense à la fin de l'heure, soyez pas inquiets. (sourire en coin) Notre producteur vous paiera le café. Oui... Il le sait pas mais il vient de le savoir. Et pourquoi pas? (les gens réapplaudissaient) Vous le méritez. Ceci dit... Mesdames et messieurs, ce soir, notre invité... Je dois... Je dois pas faire voir de quel sexe ... l'invité... Pas chose facile devant les caméras... En tout cas!

Tout le monde savait au départ qui était l'invitée... voyons donc!

snorounanne - Je tiens avant de la, le, lui, elle ...  (riait) Vous épandre son profil. Alors, sur mon tout petit carton que j'ai entre mes mains, je vous lis: Shakira, (la foule s'excitait) de son nom complet Shakira Isabel Mebarak Ripoll... Allons messieurs retenez vos ardeurs, nous sommes à la télé... Elle est née le 2 février 1977 à Barranquilla, en Colombie, est une auteur-compositrice-interprète colombienne d'origine libanaise. Comprenez sa facilité de se déhancher, mesdames et messieurs... Elle a vendu plus de 70 millions de disques dans le monde, ce qui fait d'elle l'une des artistes colombiennes et latino les plus reconnues au niveau international. (baissant sur mes jambes, le carton) Je sais pas ce que je donnerais pour être reconnue pour 10 personnes, moi hen? (dans la salle, les gens souriaient, riaient) Non mais, vous savez... À côté d'elle, je vaux un p'tit bout de kleenex de marque sans nom... Bon! On continue! (on rigolait bien)

Les tubes Whenever, Wherever et Hips Don't Lie, en duo avec Wyclef Jean, sont ses deux plus grands hit avec respectivement 8,500,000 et 10,000,000 exemplaires vendus. Ces chansons font aussi partie des chansons à grand succès en étant numéro 1 dans 31 charts différents. Charts... En français s'il vous plaît? Ce serait quoi? (M'adressant aux gens en studio) Pardon monsieur? Vous dites? (la caméra le zoomait) Tableau? Okay, comme le billboard... Ah bon, je vous remercie. Vous aurez droit à un café supplémentaire (petit clin d'oeil) Et nous continuons...

En 2010, elle interprète Waka Waka (This Time for Africa) avec le groupe Sud-Africain Freshlyground, qui a été choisi par la FIFA comme musique officielle de la Coupe du Monde de Football 2010. (jetant le petit carton par-dessus mon épaule) Eh bien, accueillons notre belle et sexy Shaaaaaaaaaaakira! (l'auditoire se levait debout, criait sa joie et applaudissait)

Toujours le même rituel, on se fait une accolade, on se bisoute les joues et on prend nos places traditionnelles.

 Shakira! C'est comme dire Tequila!

Shakira - J'adore ton émission, elle respire l'originalité, la flexibilité et je suis vraiment très contente d'y participer. N'est-elle pas originale et flexible? (Les gens applaudissaient de nouveau acclamant un "oui" presque en choeur)

snorounanne - Shakira... Euh... Je prononce bien? Sha ki râ... faut-il tourner le r? Comme rrrrrr!

Shakira - Tu le dis bien. Et moi? Snorrrrrrrounanne! (riant)

snorounanne - Ah! Je trouve que ça donne un accent latino. Merrrrrrrrrrci! Shakira, vous m'avez l'airrrrrrrr... non je vais pas éterniser les r. Vous m'avez l'air de bien aller.

Shakira - Oui.

snorounanne - Mais quelque chose vous inquiète? Je vous regarde... Je m'attendais pas à vous voir habillée. Oups! Pardon. En fait, habillée oui, mais de façon plus...

Shakira - Plus déshabillée? (sourire aux lèvres)

snorounanne - Oui, c'est ça.

Shakira - Dans les spectacles, sur scènes, je me costume peu et selon les pièces musicales. Pour apparaître devant les caméras et à une émission télévisée comme la tienne, snorounanne, jamais je montrerai un peu plus de peau que ce que tu vois présentement et ce que les gens dans la salle voient.

snorounanne - Vous avez tout à fait raison et je suis tout à fait en accord avec ce que vous dites. Pas que... si nous avions eu à vous demander de chanter, de faire un numéro, vous ne porteriez pas un t-shirt comme celui-ci, n'est-ce pas?

Shakira - Toi... Toi... Tu aurais aimé me voir moins de vêtement sur mon dos... (tout plein de sourires) C'est une mignonne, cette snorounanne.

snorounanne - Pas que j'aurais pas aimé... (d'un air innocent et taquin) Toutes les photos que j'ai parcourues sur vous, en spectacle, dis-je bien, sont éloquentes. Je ne peux dire si la production de l'émission aurait accepté que vous chantiez à peu de vêtement...  Je me le demande... (grattant le menton)

Shakira - (retroussant son chandail de moitié jusqu'en dessous du buste) Et comme ça?  On accepte? (l'auditoire sifflait... surtout les hommes)

snorounanne - (contemplant la chair) Oui... je dis oui si cela convient, bien sûr, aux producteurs? (prenant les notes et m'éventait le visage) On va peut-être m'amender... (lui disais-je près de l'oreille)

Shakira - (baissant le chandail) Désolée, je ne ferai pas de scandale. En tout cas,... pas ici. (riant)

snorounanne - C'était sérieux cet amendement contre les splish splash dans cette fontaine, Shakira? Je vais lire, pour les gens qui nous écoute à la maison et pour vous tous dans la salle et vous, Shakira, cette nouvelle à ce propos, et vous me corrigerez si... mes r sont mal tournés. (prenant dans ma main la feuille et la lisant à haute voix)

Shakira - On vous écoute, snorrrrrrounanne.

snorounanne - Shakira recevra une amende pour avoir dansé dans un lieu public. La chanteuse de 33 ans a été réprimandée par les chefs de la mairie pour avoir dansé dans une fontaine de Barcelone, rapporte Thisislondon.co.uk. Je le dis tout croche, pardonnez-moi. 

 En Espagne pour tourner un vidéoclip, Shakira aurait sauté dans la fontaine pour exécuter la chorégraphie de sa pièce Waka Waka présentée à la Coupe du monde de football. De nombreux fans l'auraient même rejoint dans la fontaine.

Ce comportement a été qualifié d'inapproprié, troublant la vie publique, et c'est pourquoi la chanteuse colombienne sera forcée de répondre de ses actes en payant une amende.

Rappelons que BUM interactif annonçait en exclusivité cette semaine que Shakira était de passage à Barcelone pour tourner sa nouvelle vidéo.

- Pour ce faire, mesdames et messieurs, nous avons des images. Regardons cela ensemble. Shakira? Sur ce moniteur.

Elle est au centre avec deux autres jolies demoiselles

Et la revoici, en compagnie de quelques fans...

snorounanne - Pour ces quelques pataugements, la mairie vous a amendée? On ne voit pas de nudité, de gestes osés, déplacés... Avez-vous fait tomber les statues, ces oiseaux représentés sur l'image? Avez-vous brisé, saccagé, lancé des bouteilles de bières, de vin dans la fontaine? Quelqu'un a-t-il uriné dedans?

Shakira - (portant ses mains à sa bouche et riant) Non, il n'y a rien eu que d'un peu se laisser aller, s'amuser sans frivolité de la part des fans et de la mienne. Mais là-bas... les réglements l'interdisent.

snorounanne - Serait-ce indiscret de vous demander combien ça vous a coûté?

Shakira - Je ne peux en parler. Navrée.

snorounanne - Pour troubler la vie publique... Les barcelonais sont-ils si pudiques que ça?

Shakira - Oh mais non!  Je dirais plutôt les gens qui détiennent les lois. En tout cas, pas grave. Ce qui est fait est fait.

snorounanne - Amender une belle personne reconnue mondialement, mesdames et messieurs, pour avoir fait jallir de l'eau dans une fontaine et laisser sortir ces espèces de trous de cul dans les prisons pour des crimes beaucoup plus criminels que ce que mademoiselle Shakira a fait! Chapeau à la justice!

Shakira - Allons, snorounanne. N'en parlons plus. (me prenant la main pour me calmer)

snorounanne - (faisant un clin d'oeil) Vous avez les mains chaudes. Bon! Nous allons passer à une longue pause commerciale, mesdames et messieurs. De quoi nous faire oublier ces désagréments du quotidiens. Je vais vous donner un autre lien à cliquer et vous allez pendant quatre bonnes minutes écouter et visionner cette vidéo. Non Shakira, ce n'est pas sur vous.

Shakira - Je commencais à craindre (souriant)

snorounanne - Cela se passait à la gare de Anvers. Caméras cachées, ils ont filmé cette scène avec des danseurs, danseuses, jeunes et moins jeunes... j'en dis pas plus! Visionnez et écoutez cette vidéo, mettez plein écran et volume comme vous l'aimez. Et nous, on va vous revenir d'ici ces quatre minutes. Voici le lien à cliquer:

http://www.youtube.com/watch?v=nemOAadaiLo

snorounanne - Nous sommes de retour! (les gens applaudissaient instantanément car eux aussi ont vu la vidéo) Vous avez aimé? Super hen?

Shakira - Je n'avais jamais rien vu de pareil. C'est si entraînant. Ça met de la magie dans l'air.

snorounanne - La mélodie du bonheur... qui aurait pensé, un jour, de faire ce montage avec prestige? Bravo! Et merci à cette gentille dame MarieTS qui m'a envoyée cette vidéo. Que de joie! Que de bonheur!

Shakira - C'est incroyable. Est-ce que je pourrais la revoir cette vidéo?

snorounanne - On vous en fera une copie.

Shakira - Non... Envoie-la moi sur mon Twitter. J'y tiens vraiment. Je te donnerai mes coordonnées.

snorounanne - Ah bon! Vous êtes une fan de Twitter? On délaisse Facebook maintenant? Blague à part... Je vous l'expédierai sur votre Twitter, ça me fera plaisir et... et, on se correspondra.

Shakira - Sitôt le temps libre, je me ferais aussi plaisir d'échanger.

snorounanne - Une paire ... (balançant la main, j'allais dire une connerie) Non, rien. À présent Shakira, j'ai autre chose à vous faire voir, vous montrer. Monsieur le caméraman va nous dire quand... ça se passe sur le moniteur, ma belle. Juste devant vous à vos pieds.

Shakira - Ah bon... Une surprise?

snorounanne - Oui et les surprises vous emballent?

Shakira - Trrrrrrrès!

snorounanne - Okay, on nous fait signe que c'est prêt. Regardez le moniteur, Shakira, les gens à la maison, votre écran et les gens en studio, le grand écran. Parfait! On tourne!

Shakira bébé

Shakira - (se bouchant les yeux puis les ouvrant) Où diable, ça sort cette photo? Non... c'est pas réel... Mon Dieu! C'est moi toute petite!

Eh oui... bébé Shakira n'en revenait pas... comme elle a grandi!

Encore elle toute petite et coquette!

Shakira - (elle se levait debout et se mit à se déhancher) Je n'avais pas encore ce mouvement des hanches à cet âge... (et se rassoyant) Tu es pire que des détectives, snorounanne. Je t'envie. (regardant les gens en studio) Elle est talentueuse! Je crois que je vais l'inviter prochainement à un de mes spectacles.

snorounanne - Vous étiez... (les gens criaient et applaudissaient) N'en faites rien. Je n'ai pas de mérite. Les recherchistes sont à créditer.

Shakira - Alors, j'inviterai tes recherchistes et toi (clin d'oeil)

snorounanne - Shakira, vous étiez coquette. Et votre beauté ne s'est jamais perdue. Nous allons encore une fois à une pause commerciale, mesdames et messieurs et... et oui!  Shakira chantera, pour nous, Waka, Waka! (Des cris, des sifflements... des applaudissements, il était temps qu'on passe à des pauses) Ne quittez pas!

J'étais exténuée. Je rentrais à la maison autour des 22 heures 42. Dédé, mon bras droit, m'avait reconduite comme un gentil homme. Cette fois-ci, il ne parlait que de l'émission, de Shakira, il en parlait comme un tout jeune racontant sa première excitation face à une fille, voyez le genre?

Mais... il mesurait ses mots afin de ne pas me faire disjoncter. Il était le plus heureux des assistants, il avait eu la chance d'avoir un autographe signé par Shakira sur son chandail. Oui, c'est ça l'avantage d'être dans ce monde des vedettes, des artistes. Avoir de quoi, ne serait-ce qu'un sourire, un clin d'oeil, une main posée sur la sienne... Ces gens ont un plus dans ce que nous avons pas. Mais... en revanche, nous avons aussi un plus dans ce qu'ils n'ont pas. Voilà le partage, les associations, les échanges, la compatibilité.

Comme il n'arrêtait pas de vanter la beauté de Shakira, les effets qu'elle projetait sur lui avant, pendant et après l'émission... Je naviguais dans un autre monde, tout en assurant de lui répondre par des oui, okay, je comprends, je vois. Des trucs comme ça pour ne pas me déconnecter. Mais s'il avait pu regarder mes yeux, il aurait tout de suite vu que je n'étais plus avec lui mais ailleurs.

Si vous me suivez à la lettre, vous aurez compris que mes pensées dérivaient vers ce premier jour où cette femme policière était venue à ce bar-terrasse de la place pour une discussion sérieuse. Vous n'avez pas oublié?

J'y arrive... Soyez tranquille. Elle m'avait fait monter dans sa voiture de police et avions roulé et roulé et roulé. Nous avions pris le temps de manger en cours de route. Les heures avaient dépassé ma notion du temps.

Nous étions chez elle. Car, elle tenait à me faire part de quelque chose d'important. Voici donc, ce qui c'était déroulé:

Geneviève Dubois - (reniflant... elle avait beaucoup pleuré) Tu sais... rien n'arrive inutilement dans la vie. (Allant à sa chambre. Je devinais que c'était cet endroit)

snorounanne - Comme quoi? (examinant tout autour de moi, la pièce, ce salon)

Geneviève Dubois - Le fait que tu sois voyante... je veux dire que tu es ce don de communiquer avec les morts, les esprits, les fantôme... quoiqu'il en soit.

snorounanne - (restant debout car elle ne m'avait pas dit de m'asseoir et elle revenait au salon) Je ne communique pas avec eux.

Geneviève Dubois - Tu m'as dit,...

snorounanne - Ce que j'ai dit était que... Ce sont eux qui me parlent, qui me contactent. De moi-même, par moi-même, je ne fais rien.

Geneviève Dubois - C'est pas ce que j'ai cru comprendre.

snorounanne - (elle me faisait signe de m'asseoir sur ce fauteuil juste derrière moi) Merci. Je t'ai expliquée des choses que je sens, que je capte, que je perçois mais... d'après ce que tu tiens dans ta main, si c'est pour entrer en contact avec un mort, je regrette, je pourrai pas.

Geneviève Dubois - Ce n'est peut-être pas grand chose. J'avais espoir. J'ai entendu parler de toi par le biais de certaines émissions. Alors... (s'essuyant une larme) Je me disais que tu pourrais m'aider à comprendre. (elle fondait une fois de plus en larme tout en se laissant choir sur le canapé.

snorouanne - (je me levais du fauteuil et allais m'asseoir près d'elle) Genny... pardonne-moi si je me suis mal expliquée. Je pensais que c'était clair. Hé... ne pleure pas...

Geneviève Dubois - (s'essuyant les yeux et tout doucement, elle me prit la main) Désolée.

 quelle délicatesse...

Contrairement à toutes ces séries télévisées traitant sur le paranormal... Ces gens touchaient pour sentir et moi j'étais dans l'inverse. J'ai senti une chaleur me prendre au cou, mes avant-bras brûlant et un coup dans la tête. Je venais à cet instant de prendre contact mais, avec qui, avec quoi... Elle s'essuyait les yeux et s'était acquérie d'un kleenex pour se moucher soigneusement sans ébruiter... On dira...

snorounanne - Ça va aller, là?

Geneviève Dubois - (signe de tête affirmatif) Tu aimerais que je fasse du café?

snorounanne - Il est tard. Je ne voudrais pas déranger.

Geneviève Dubois - C'est mon congé. Mais... déjà que toi, tu peux en être fatiguée. Je t'ai bourrée le crâne de mes misères. Et je t'ai kidnappée. Tes deux copines sont visiblement inquiètes.

snorouanne - Si elle l'étaient, j'aurais eu un bourrage d'appel sur mon cellulaire. Ce qui n'est pas le cas. (Elle replongeait dans ses pensées carcérales).

Assez profond et assez évident...

Geneviève Dubois - Je fais du café. Ça ne peut nous faire du tort. Et j'ai pas sommeil.

snorounanne - J'accepte. (se levait et se dirigeait vers la cuisine)

Geneviève Dubois - C'est du café corsé!

snorounanne - Parfait! On restera toute la nuit debout... Assises... (Elle avait laissé ce bout de papier, sur le canapé. Le réflexe m'avait conduite à le prendre dans mes mains et)

  

Des bizarreries chevauchaient mon intérieur en posant les yeux sur ce bout de papier d'aucune écriture...

Je me sentais alourdie... déséquilibre du corps. Des sons, des couleurs, des jeux de mouvements, des voix puis... un étouffement saisissant ma gorge. Je me prenais la gorge et cherchais à respirer lorsque un bruit de pas tranchait tout.

Geneviève Dubois - J'avais même fait des carrés aux dattes. J'espère que tu aimes?

snorounanne - Ah... (un peu désorientée) Je... Je pense que si je te le dis pas là, je m'en voudrais plus tard.

Geneviève Dubois - Tu aimes pas. C'est okay. J'ai du fromage... Tu aimes le fromage?

snorounanne - J'ai senti autour du cou, des mains, et et j'ai senti... C'est une femme, jeune... Dieu que j'aime pas ces circonstances.

Geneviève Dubois - Tu as quoi? (Me levant d'un bond à mon tour, mal à l'aise) Parle, tu as senti quoi?

snorounanne - Je t'en prie, ne me met pas de pression. Je déteste.

Genevière Dubois - Dis-moi, alors, ce qui s'est passé pendant que j'étais à la cuisine. Tu as vu quelque chose, toi hen?

snorounanne - Je peux me tromper. Oui j'ai vu quelque chose, j'ai pris ce bout de papier et, c'est arrivé et je sais pas comment te le dire, te le décrire. Je suis mal en-dedans. Je me sens impuissante face à ces choses, bordel de merde!

Geneviève Dubois - Qu'as-tu vu, parle? Raconte!

snorounanne - C'était comme si... comme si je me trouvais là et que je voyais la scène. (hochant de la tête) Peut-être mieux de rien dire. J'ai peut-être tout imaginé cela.

Geneviève Dubois - J'ai confiance en toi, snorounanne. Je ne t'aurai pas parlée de ma misérable enfance et de ma misérable vie de femme... Si je n'avais pas confiance et si je ne croyais pas en ce que tu es... 

snorounanne - (mimant gestes et scène, je lui défilais cette sensation) On l'a étranglée. Puis... Tu es arrivée et tout s'est éteint. J'ai senti des mains à ce niveau... Dieu que j'ai mal... Pourquoi je sens des émotions si terribles?On a étranglé cette jeune femme... Genny? On a étranglé... (À mon tour de pleurer)

Geneviève Dubois - Pauvre chouette... j'suis navrée, je savais pas comment tu pouvais sentir, comment ça allait se passer. (me prenant dans ses bras) Je suis désolée.

Elle était pleine de compassion pour moi...

Voilà l'heure de faire balancer votre écoute sur l'audio. Cette chanson est de Lights. Elle aussi est sur Youtube. J'espère que cette intrigue, cette chronique, cet éditorial, à ma façon vous a séduit. Merci pour votre fidélité. Ce n'est aucunement les commentaires qui comptent pour moi. C'est l'idée d'offrir de ce que j'ai de plus beau à offrir. Les écrits.

On se donne rendez-vous à la prochaine édition et publication. À bientôt et bisous!


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