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Spéléoenologie

Publié le 26 août 2010 par Irene

SpéléoenologieJe suis très chagrinée par le sort des 33 mineurs bloqués sous terre, par 700 mètres de profondeur. Amis claustrophobes, passez votre chemin. Il fait quelque 35 °C dans leur refuge de fortune avec une hygrométrie qui ne conviendrait qu'à une bonne cave, et encore. A ce jour, le boyau qui les relie à la surface fait 8 cm. Pas même de quoi passer une bouteille de pétillant pour leur remonter le moral. Hier encore, ils ignoraient que ce calvaire allait durer trois mois avant qu'on les extirpe de cet enfer souterrain. Pour qu'ils tiennent le coup, on leur fait passer des jeux, de la musique, des médicaments. Et des vivres, évidemment. Contrairement aux six hurluberlus de Mars 500 qui ont choisi de tester le confinement, les pauvres bougres n'ont rien demandé à personne !
Et pour finir sur le thème de l'enfermement, je ne sais pas ce qui se passe chez nos amis anglais, mais après les écureuils dans l'assiette, voilà qu'une femme jette sans scrupules un chat dans une poubelle. Ça va pas bien, non ! C'est la caméra de surveillance du propriétaire du matou en question qui l'a filmée en plein forfait. Et ça risque de lui coûter cher. Quant au chat, après 15 heures passées à miauler dans son conteneur, il a plutôt bonne mine… lui.

Photo : Si vous voulez passer du temps à 130 m sous terre en Anjou, il y a La Mine bleue, à Noyant. Une ancienne mine d'ardoise où l'on découvre le travail des mineurs… en toute sécurité. Comme en témoigne cette photo, prise par mon ami Jérôme Galland, je vais bien, j'en suis sortie, ne vous en faites pas.


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