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Certains médicaments «réactivent» des virus présents chez 80% à 90% des adultes dans le monde.

Publié le 27 août 2010 par Suzanneb

Rester en vie ! 

En santé comme en d'autres domaines:
Nos représentants élus DEVRAIENT NOUS PROTÉGER contre l'appétit des industriels... mais ils préfèrent se remplir les poches !

août

27

2010

Par Suzanne Bissonnette

Allergies médicamenteuses ? pas vraiment, mais peut-être pire.

On a longtemps cru (et on croira encore) que certaines allergies graves (hypersensibilité) sont déclenchées dans l’organisme en réaction à certains médicaments. Le corps se défendrait contre le médicament… c’est pourquoi on les appelle des «allergies médicamenteuses». C’est ainsi qu’on établissait (parfois et difficilement) le lien entre les deux.

Le lien existe toujours, mais s’établit autrement. En fait, le médicament pourrait dans certains cas, RÉANIMER – RÉACTIVER un virus (EVB) qui autrement, reste à l’état de dormance.  L’organisme lutte en fait contre l’invasion et contre la réactivation virale déclenchée par le médicament.

Avant, c’était la faute du patient, il était «trop sensible» à la molécule. Maintenant il faudra se déculpabiliser au plus sacrant puisque ce serait le médicament qui déclencherait un virus présent chez la grande majorité des habitants de la planète.  Sommes-nous responsables de la présence de ce virus dormant ? nous n’y pouvons pas grand chose n’est-ce pas ? Par contre, le «déclencheur» lui, n’est pas toujours obligatoire. Un choix troublant, une réflexion essentielle.

Virus EBV ? c’est quoi ?

Le virus EBV est présent chez 80% à 90% des adultes dans le monde. Dans la mesure où ses conséquences peuvent et sont parfois très graves, on a pas idée des dommages potentiels.

  • Cible potentielle: quelques milliards d’individus
  • Combien de médicaments pourraient réanimer le virus EBV et combien d’individus en consomment ?
  • Quels autres virus certains médicaments (et vaccins pourquoi pas?) pourraient-ils eux aussi «déclencher» à notre insu ?
  • Pour «traiter» ces «virus» combien de médicaments faudra-il encore utiliser ?

Avec l’ère des médicaments nous sommes entrés dans une spirale infernale.

On ne sait plus ce qui provoque quoi mais les maladies/syndromes/virus semblent augmenter, de même que les médicaments qui les soignent ou qui les provoquent, c’est selon.

La médecine pharmaceutique n’a que ça à proposer: des médicaments et des vaccins, parce C’EST CE QUI RAPPORTE.

Tout le monde connait une personne qui prend des médicaments contre les effets d’un autre médicament, certains doivent également en prendre un troisième pour annuler les effets causés par le deuxième. On peut s’y perdre facilement.

Aucun intérêt dans le recherche des sources des maladies, de ce qui les déclenche. On refuse d’envisager l’hypothèse que la santé se détériore, au lieu de s’améliorer (malgré cette belle science du médicament).

On ferme les yeux sur la multiplication de nombreuses formes d’allergies ces cinquante dernières années. On passe une douce cassette en sourdine, la médecine sauvera l’humanité… la musique adoucit les mœurs… et fait oublier. On manipule les chiffres et on publie les résultats escomptés par l’industrie, en lieu et place d’une réalité autrement plus sombre. On ne prend aucun recul face aux dogmes. On prend les gens pour des imbéciles.

Il ne faudrait pas oublier que nous sommes également à l’ère des communications. Des études de ce genre il y en aura encore, et des pires. Même colossales, les fortunes de Big Pharma n’arrivent pas toujours à taire les scandales… et à bien y penser, les actionnaires pourraient avoir l’intelligence un jour, de se rendre compte qu’ils ont eux-mêmes subventionné leur perte et celle de leurs proches. Ils comprendront peut-être que la vie humaine vaut bien plus que les profits… dans la mesure ou on en profite seulement… si on reste en vie.

Je vous propose de lire cet article:

Médicaments: certaines allergies dues au réveil de virus «dormants»

Agence France-Presse - Paris

Certaines formes d’allergies médicamenteuses  sont en fait dues au réveil de virus «dormants» de type herpès virus, et non le résultat d’une réaction de l’organisme contre le médicament comme on l’avait cru, ont découvert des chercheurs français.

Les résultats de cette démonstration qui «a pris sept ans de travail», selon Philippe Musette (Inserm, Rouen France) qui l’a dirigée, sont publiés mercredi dans la revue américaine Science Translational Medicine.

«Le syndrome d’hypersensibilité, ainsi appelé parce que le système immunitaire réagit avec excès, apparaît au moins trois semaines après la prise du médicament».

Ce syndrome, rare, «mime un tableau infectieux - fièvre, ganglions, éruption cutanée et il peut y avoir des atteintes pulmonaires, rénales, du foie et du coeur. La mortalité est d’environ 10%», poursuit auprès de l’AFP le professeur Musette.

Les médicaments - souvent des anti-épileptiques, des antibiotiques mais aussi l’allopurinol (contre la goutte) - réveillent, chez certains individus qui seraient génétiquement prédisposés, le virus d’Epstein Barr (EBV/VEB), un virus de la famille Herpes (herpès, varicelle-zona, HHV6, CMV-mononucléose, etc.) en temps normal à l’état «dormant» dans l’organisme.

«Le risque d’hypersensibilité avec un antiépileptique comme le Tégrétol (carbamazépine) est d’1/8000», ajoute-t-il.

40 patients présentant cette hypersensibilité ou réaction «DRESS» (c’est-à-dire une réaction au médicament avec excès de lymphocytes sanguins éosinophiles liés à l’allergie et des symptômes allergiques cutanés et viscéraux) ont été étudiés.

Chez la majorité d’entre eux (76%), les chercheurs ont observé la multiplication du virus (EBV) dans le sang. Au niveau des cellules de l’immunité de ces patients (des lymphocytes T CD8+ en particulier), la majeure partie de la réaction est dirigée contre les particules virales. «Plus les lymphocytes sécrètent de substances inflammatoires (interféron gamma…), plus la maladie est grave», relève le chercheur.

«Jusque là, on pensait que la réaction se faisait contre le médicament, et pour la première fois, on démontre que le médicament réactive le virus et que c’est cela qui déclenche l’allergie», commente M. Musette. L’organisme lutte en fait contre l’invasion, et la réactivation virale déclenchée par le médicament.

Le traitement de certaines de ces manifestations allergiques pourrait évoluer en proposant, en plus de l’arrêt du médicament en cause, «des corticoïdes et faute de mieux dans les cas extrêmement graves, des antiviraux peu ou partiellement efficaces (type ganciclovir)».

À souligner au passage que les réactions allergiques ainsi provoquées apparaissent au moins 3 semaines après la prise du médicament. (au moins… ça peut donc être plus long !) et que les conséquences peuvent aller jusqu’au décès.

Cette information devrait faire réfléchir ceux qui établissent les critères en matière d’imputabilité d’effets secondaires en pharmacovigilance, alors que manifestement, des organisations aussi prestigieuses (sic) que l’OMS, procèdent à un maquillage minutieux dans leur classification des effets secondaires de sorte qu’il devient de plus en plus difficile d’établir des connexions entre causes et effets.

(voir cet excellent article d’Initiative Citoyenne du 26 août 2010 - L’OMS continue de trafiquer ses propres critères)

Sources et références pour cet article

  1. Virus EBV - wikipedia
    fr.wikipedia.org/wiki/Virus_d'Epstein-Barr...
  2. Cyberpresse - 25 août 2010
    www.cyberpresse.ca/vivre/sante/201008/25/01-430970...
  3. L'OMS continue de trafiquer ses propres critères! 26 août 2010
    www.initiativecitoyenne.be/article-l-oms-continue-...
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