D'Humour est en rogne! (article 65)

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai, merci

Une sérieuse réfléxion s'impose...

Je battrai le fer tant qu'il est chaud! Je ne vendrai pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Mais est-ce bien un court métrage défilant sur mon écran d'ordinateur? Quelle cruauté, quelle horreur, quel être humain peut-il être capable de commetre une telle animosité?

J'étais à ma deuxième tasse de café, j'avais fini de prendre le déjeûner. Mes tripes s'entaillaient les unes sur les autres avec ces images. Je n'aurais pas dû... Misère! Me voilà à m'appitoyer sur mon sort du: je n'aurais pas dû.

Je me trouve sur une rengaine, je dois en changer le tempo et vite! Entre guillemets " Cyrano " avait-il déjà acté ce couplet? Qu'importe, fis-je de la tête... J'ai visionné une vidéo et je projette d'en parler à l'émission " D'Humour "

Par ailleurs, un de mes confrères de la télé en a déjà craché des morceaux à son émission, Denis Lévesque. Nous allons alors la faire circuler et à notre façon en faire des remarques si disgracieuses par ces images m'ayant éprouvée en tant qu'être humain... Que le boss m'exempte de tout mot gras que j'y soulignerai.

Par ailleurs, j'ai purgé une belle fin de semaine, mesdames et messieurs. Voilà que mes lèvres s'agrippent après un sourire content. En compagnie de Geneviève Dubois, il faut que vous le sachiez. C'est elle qui n'arrêtait pas de me solliciter au téléphone, sur mon cellulaire, dans mon courriel pour ainsi se délecter d'un samedi tout entier.

Je sentais sa curiosité, son intérêt, son attachement. Cette épisode, oui rien que cette épisode de ce samedi est un pansement enivrant sur ce qui suivra dans pas long.

Lundi autour des dix heures dix et quarante-cinq secondes, Dédé tournoyait autour de moi, ainsi une abeille butinant les fleurs. Nous étions dans les studios de TVA. Je buvais une canette de pepsi que j'écrabouillais une fois vide. Pourquoi? Mais c'est à cause de son acharnement sur moi!

snorounanne - (jetant la canette dans le bac de récupération) Et si tu n'arrêtes pas de me coller aux fesses et de me harceler avec toutes ces questions dérisoires, tu finiras comme elle!

Dédé - Allez, ne fais pas l'enfant. Tout ce que je cherche à savoir c'est... Si elle est faite pour toi, snorounanne.

snorounanne - (regardant l'heure sur ma montre) Est-ce que,...

technicien - Justement la personne que je cherchais! Tenez. (me donnant une feuille remplie de phrases en surbrillance jaune) Ce que vous aurez à répondre ce midi, à monsieur Bruno, aux nouvelles de TVA.

snorounanne - À répondre? (le technicien continuait sa route)

Dédé - (riait un peu) On te limite déjà dans ce que tu pourrais déposer comme réponse.

snorounanne - (lisant le contenu) Fait chier... S'il pense que je vais suivre cette exécution, ce pruno de Passe-Partout se trompe.

Dédé - Hé! Ma belle, n'oublie pas que tu es l'invitée et non l'animatrice et que monsieur Bruno est pesant. Il est passé du banc d'apprentissage au bureau  des maîtres, retiens ça.

snorounanne - Et puis? J'en n'ai rien à foutre. (lui collant la feuille sur son estomac) Si quelqu'un me cherche, je suis dans mon bureau. (avec sourire) Modeste bureau, il va s'en dire... (le saluant comme un soldat)

Dédé - Attends!

snorounanne - Quoi encore...?

Dédé - Nous sommes toi et moi des amis... hen? 

snorounanne - Mais encore?

Dédé - (D'une voix discrète) Tu ne m'as pas dit, si cette policière que tu fréquentes, est réellement une lesbienne.

snorounanne - Dis-moi Dédé. On est des amis, de bons amis, n'est-ce pas?

Dédé - Oui...

snorounanne - Est-ce que dans tous le parcours de notre travail jusqu'ici et de nos sorties de fin de soirée. Dis-moi, est-ce qu'il m'est arrivée de te mitrailler à savoir si tu sortais avec une (je le disais par syllabe) hé té ro?

Dédé - (réfléchissant) À vrai dire...

snorounanne - Sujet clos. (me dirigeant vers le couloir)

Dédé - C'est que... c'est que... Hé! Je suis ton ami! Je ne veux pas que tu te fasses mal dans cette histoire. T'as eu trop mal, par le passé. (voyant que je ne l'écoutais pas parler) Ah pis merde... fais ce que tu veux.

Lundi 30 août midi heure des repas!

 Monsieur Pierre Bruno... le doyen des nouvellistes... le vieux de la vieille chaussette!

Pierre Bruno - Bon midi mademoiselle snorounanne. Notre chère collègue des réseaux médiatiques, vous allez bien?

snorounanne - On ne peut mieux, merci! Et vous de même?

Pierre Bruno - Oui je vous remercie. Avec cette canicule, nous devons garder le sourire.

snorounanne - Une personne en si bonne forme physique comme vous, monsieur Bruno. Lorsqu'on sait que vous êtes un fidèle alpiniste des hautes altitudes par des temps froids sibériens et un bon vélocipède sur deux roues par des temps australiens. Les jeunes vous adorent et vous admirent. Vous êtes un modèle pour eux.

Pierre Bruno - (réalisant que rien ne faisant partie des phrases surbrillantées en jaune) Parlant de jeunes, c'est le retour à l'école pour la plupart des commissions scolaires. (on avait entendu presque de ma bouche, les mots: Quel bonheur...) Vous nous avez préparés un reportage et si je ne m'abuse, vous étiez à bord de l'héli,...

snorounanne - Oui, c'est ça, monsieur Bruno, à bord de l'hélicoptère de TVA. Ils en ont acheté un autre. Avez-vous cotisé pour cet engin en mai dernier?

Pierre Bruno - (sourire hésitant mais inaperçu à la caméra) Si nous nous attardions à ce reportage, mademoiselle snorounanne? Vous voulez bien commenter ces images que nous verrons ainsi que les gens à la maison s'il vous plaît? Une fois que nous les aurons regardées, bien entendu.

snorounanne - Avec plaisir. (visionnant le moteur)

Pierre Bruno - Reportage monté par notre journaliste, Snorounanne d'Humour.

Voici ce petit reportage que j'y ai fait lundi 30 août tôt le matin avec mon équipier, Dédé.

Et je stressais en haut... car il fallait descendre un moment donné pour jaser avec le petit monde... voyez ce que je veux dire?

snorounanne - Ici snorounanne d'Humour pour les nouvelles TVA. Mesdames et messieurs, eh bien voilà, la joie de toutes les mamans. C'est une rentrée en classe pour le secteur de la région de Ste-Rose, Laval. Nous survolons présentement l'école et la cour de récréation.

Votre intelligence vous pousse-t-elle à identifier ces croquis comme étant des alertes aux extras-terrestres? En tout cas...

- C'est encore désert mais ça se remplira bien assez rapidement par les nombreux enfants. On disait une rentrée prudente à Laval, car cette année comme l'année précédente, la sécurité policière a renforcé ses élites afin d'assumer ordre et paix au sein de la traversée des piétons à certains endroits et garder un bon oeil sur les automobilistes respectant les panneaux de signalisation.

- On voit ici, sur cette image, une voiture de police. (constatant que c'était l'immatriculation de celle de Genny)

 Elle était de service pour la sécurité, ce matin-là. Quel hasard...

- Remarquez que la police fait du bon boulot à cet effet. Il y a d'ailleurs de la surveillance au radar. Nous n'avons pas d'image à vous présenter. On me fait signe que l'hélicoptère va se poser dans la cour d'école. Donc, on se rejoint en bas avec ces centaines d'élèves.

L'hélicoptère atterissait, le pilote me montrait le pouce en l'air, signal que je pouvais y descendre. Dédé était parmi le tas d'enfants. Dieu que cela m'alourdissait de m'entreteir avec ces gosses...

Je devais poursuivre, je n'avais guère le choix. Mon micro, la caméra et action!

snorounanne - Allo ma belle! Comment est-ce que tu te sens pour ce premier jour à l'école?

petite fille - Je suis contente là. Pis, je trouve ça cool... Là. Ben parce que, je revois tous mes amis là.

 Ne savait-elle pas qu'elle pouvait larguer ce maudit "là"? Misère qu'elle m'énervait...

snorounanne - Ça te manquait l'école?

petite fille - Oui beaucoup. J'commençais à m'ennuyer là, en vacances.

snorounanne - Ben là là... tu vas sûrement être un bon professeur, toi, ou animatrice comme Julie Snyder, plus tard hen? (je lui donnais pas le temps de répondre. J'allais vers d'autres enfants) Allo! Et toi, jeune homme... comment tu trouves cette rentrée en classe?

Coquet non?

petit garçon - Ben moi, j'étais trop bien en vacances! Avec mon ami, Cédric. (son ami lui faisait une accolade démontrant tout l'accord) Je vais passer à la télé?

snorounanne - Oui mon p'tit gars! Bonne année scolaire, les boys! (me tournant vers la caméra) En direct de Laval, c'était snorounanne d'Humour pour les nouvelles de TVA et ... ben là... fini les vacances d'été!

De retour en studio avec l'illustre Pierre Bruno, j'avais eu droit, de sa part, à quelques remontrances pendant le tournage de ce reportage. N'ayant pas suivi à la lettre les surbrillances, il m'avait demandée d'être pleinement sensée, pour ne pas dire logique.

Par un soupir non témoigné, j'exprimais mes excuses. La caméra allumée, la suite s'ensuivait, mesdames et messieurs.

Pierre Bruno - On voit combien sont heureux de reprendre le chemin de l'école et d'autres espérant prolonger les vacances. Vous aimiez l'école?

snorounanne - J'aimais l'école et j'aimais apprendre et le primaire a été le seul banc d'école sur lequel je suis restée assise, monsieur Bruno.

Pierre Bruno - Et pour le secondaire?

snorounanne - Les trois premières années au secondaire, je suis restée sagement à écouter les enseignants. Par la suite, un gros changement radical, l'avènement d'une Polyvalente, type campus, monsieur Bruno, m'a déréglée. Les enseignants ont perdu le contrôle sur deux milles étudiants et j'ai perdu mon stage d'attention. Je les ai accomplis ces deux dernières années 4 et 5. Toutefois... J'ai adopté les services de la bibliothèque de ce carrefour giratoire d'école pour me cadrer, dans des bouquins plutôt que de me cadrer devant des professeurs perdus... Vous comprenez?

Pierre Bruno - On me dit que c'est le temps de pauses commanditaires. Je vous remercie. Votre présence a été charmante. Bonne continuité dans vos éditoriaux.

snorounanne - C'est moi qui vous remercie pour votre accueil, monsieur Bruno.

Je retirais mon micro sur mon chandail, lui faisais un beau sourire... mesquin et disparaissais de cette façade de bureau des nouvelles. Dédé me suivait des yeux et son air se lisait très bien sur son visage. Il n'en revenait pas que je m'étais encore laissée emporter par ces vagues de "femme aux aguets".

Nous allions, lui et moi, prendre le lunch et cela tombait pile. J'avais un de ces appétits.

Le lendemain, à la veille de la fin du mois d'août... Seigneur, l'été a été long! D'accord ça été un bel été comme jamais vu depuis quelques années. Mais... Pensons avec logique... L'eau, s'il ne pleut pas... qui c'est qui remplira nos puits, nos étangs, nos rivières, nos lacs, nos fleuves? Bien oui... Je me répète! Peut-être que je prends conscience d'une formule nous glissant entre les doigts?

Mardi 31 août 10:00 pile

Vous êtes pas tombé endormis, j'espère?

 Vous n'avez pas encore trouvé l'utilité de me rejoindre?

snorounanne - Bon matin, mesdames et messieurs et bon café! Vous en aurez pleinement besoin de votre caféine, je vous le dis. Avec les sujets qu'on entretiendra, faites-vous une cafetière ou un percolateur pis un punching bag pas loin. J'ouvre tout de suite la discussion sur ce volcan en Indonésie. Volcan, je dirais, sous silence depuis 400 ans. Je vous fais la lecture:

"Le volcan Sinabung, sur l'île de Sumatra, c'est quasiment dire kasumatra... On jurerait une position dans l'acte de faire l'amour, mesdames et messieur. Je poursuis: dans l'ouest de l'Indonésie, est entré en éruption pour la première fois en 400 ans, samedi.

Des cendres, des pierres et du sable ont été projetés à 1500 mètres d'altitude, mais les dégâts étaient limités, puisque la coulée de lave ne s'est pas étendue loin du cratère, qui culmine lui-même à plus de 2400 mètres. Les plantes, les arbres et les champs de légumes étaient recouverts de poussière, et un nuage de fumée noire et âcre s'est formé au-dessus du volcan, tandis qu'une forte odeur de soufre est perceptible.

Environ 10 000 personnes ont été évacuées des pentes du mont Sinabung depuis vendredi, jour des premiers signes d'activité du volcan, et hébergées dans des centres d'urgence, des bâtiments officiels ou des lieux de culte. Des masques leur ont été distribués, et les autorités se préparaient à distribuer des médicaments contre les infections respiratoires, des tentes et de la nourriture.

Le Centre d'alerte aux catastrophes volcaniques a indiqué que l'alerte rouge était maintenue sur l'île de Sumatra. L'éruption n'a cependant pas perturbé le trafic aérien.

L'activité sismique et volcanique est très forte en Indonésie, archipel situé dans une zone appelée le « cercle de feu » de l'océan Pacifique. Le volcan Karangetang, dans la province de Suwalesi du nord du pays, est aussi entré en éruption récemment.

- Où est-ce qu'on se dirige avec toutes ces éruptions, ces secousses séismiques, mesdames et messieurs? Par le fait même! J'ai reçu un courriel. L'internet c'est rapide, qu'on se le dise. Son nom demeure inconnu mais son pseudo peut être connu de vous tous. Il a pour pseudo, Spoutnik. Voici sa perception face à ces événements. Je vous en fait la lecture.

"Voici certaines informations qui pourraient nous aider à comprendre ce qui se passe actuellement sur la planète : elles concernent un certain projet "HAARP". Harpe, Harper... non je divague, mesdames et messieurs. Je continue de lire.

Ma supposition est la suivante : puisque cette technologie est dite être en mesure de contrôler le climat (mais bien plus que seulement cela en fait), elle pourrait être à la source directe de tous les "changements climatiques" observés depuis 20 ans.

On aurait "brouillé les pistes" à propos de ce projet en disant que les changements climatiques sont dûs aux émissions de carbone (postulat "scientifique" auquel vont adhérer les gens "intelligents") puis on aurait laissé couler d'autres explications telles que celles du retour de la planète Nibiru, du prochain maximum solaire supposé être catastrophique ou encore l'enlignement avec l'équateur galactique, tous prévus pour 2012 (postulats "paranoïaques" auxquels vont adhérer les "fêlés du ciboulot").

En opposant ces deux postulats, le scientifique et le paranoïaque, les dirigeants du projet HAARP se seraient assurés, par cette polarisation, de contenir un maximum de gens à l'intérieur de ces deux limites qui couvrent assez bien le spectre de la population en général. Le même processus est utilisé au niveau politique avec la "droite" et la "gauche" : ils s'assurent ainsi de toujours garder le pouvoir puisqu'ils chapeautent les deux courants politiques (un peu comme la langue fourchue du serpent)...

Il faut également remarquer qu'autant de suppositions émises toutes en même temps a de quoi faire perdre son latin à quasiment n'importe qui, ce qui a d'autant mieux brouillé les pistes.

Ils auraient ainsi pu tester tout à leur aise, sans être "dérangés", cette technologie depuis bon nombre d'années afin de la parfaire et lorsqu'ils l'utiliseront à capacité maximum et d'une façon entièrement ciblée, ils feront croire que les désastres sont quelque chose d'entièrement naturel.

Cela ne représente à mes yeux qu'une simple supposition mais qui expliquerait très bien tout un ensemble d'informations diverses qui circulent actuellement sur le web.

- Eh bien, monsieur Spoutnik, je n'exclue pas votre supposition. Je suis dans cette position et non que je me pose des tonnes de questions... mais... j'ai le sentiment qu'on joue avec nos cinq sens acquis. Non... il est pas cinglé ce Spoutnik. Tenez, j'ai une image à vous montrer de ce volcan.

Fiston et papa vu de très loin ...

snorounanne - Nous sommes sur cette planète, Terre Mère et ça prend des scientiques pour nous faire croire à des illusions apocalyptiques! Je l'ai bien dit? Oui? J'en suis fière. Spoutnik? C'était pas un satellite russe? Sommes-nous aussi bernés par un russe qui nous ferait des accroires? Tout est possible. (Petit silence. Relisant dans ma tête ces quelques passages de cet homme) Et dire que j'ai presque mordu... Non... mais sous cela, il y a des vérités. J'en suis convaincue.

J'ai un lien à vous faire cliquer, mes amis! Oui, si si si. Ce n'est guère divertissant. Je le mettrai et pendant le visionnement, nous ferons une toute petite pause. Cette vidéo m'a été envoyée par ma soeur, Monique. Que je remercie, en passant et en passant, bonjour à toi et au chum! (clin d'oeil) Voilà le lien sur lequel vous ferez un clic ou une double clic. Et on revient pour en discuter, mesdames et messieurs. Armez-vous de votre punching bag... et gardez tout de même votre sang-froid et pis... si vous avez le coeur trop sensible, évitez de la visionner une autre fois.

http://www.doggiestylish.com/store/2010/08/caught-on-video-girl-throws-live-puppies-into-a-river/

snorounanne - C'est immonde! Inhumain! C'est démentiel! Qui sont ces deux... maladives jeunes personnes qui ont eues l'idée monstrueuse de créer une vidéo de cette ampleur? Si on les retrace, mesdames et messieurs, et ce n'est pas seulement la jeune fille qui en est la seule coupable... derrière cette vidéo caméra, y a un gars, une fille hen, n'est-ce pas, à l'origine de ce montage bestial... je dis bien bestial! Un animal ne fera pas ça à ces progénitures. Quelle honte!

- On nous dit que cela pourrait provenir de la Bosnie, de l'Allemagne. Bien entendu, il y en des cas similaires, mais pour l'avoir mis quelque part sur un ordinateur... Ça n'a pas échappé à celui ou celle qui a découvert cette vidéo et qui a songé de la faire circuler sur internet afin de sensibiliser les gens... de retracer cette fille et aussi la personne qui tenait la vidéo dans sa main... Bon sang! C'est criminel!

- Non mais... faut pas avoir de conscience. La jeune fille semble même en prendre plaisir. Non! Non, je regrette, y a  rien d'excitant dans ces images. C'est une atrocité, un abomination! Ça me crève le coeur et ça me lève le coeur. Si vous avez des commentaires à ce sujet, ne vous gênez pas.

- Ceci dit! On passe à des messages publicitaires pour trois bonnes minutes, mesdames et messieurs. À tout de suite! Le temps que je frappe sur de quoi...

Je sortais vers les treize heures du studio TVA et allais prendre un coup de chaleur. Il faisait si chaud et si humide mais je me rendais compte que chaque seconde m'était importante pour la vie et la survie sur cette planète. Alors, le soleil tapait sur ma tête et les yeux fermés, je revoyais,...

Dédé - Une excellente bière froide pour mon excellente amie, snorounanne.

snorounanne - (la prenant dans ma main. Il l'avait décapsulée) Merci... Mon sauveur!

Dédé - De la belle vacherie, cette vidéo.

snorounanne - (secouant de la tête) L'humain est-il plus animal qu'on le laisserait entendre?

Dédé - (accroupi) Si tu savais... au lit, je suis une bête de sexe.

snorounanne - (versant la bouteille de bière sur sa tête) Quand tu t'exempteras de ces réflexions, on se reparlera.

Dédé - (me voyant quitter la place) Hé! Mais qu'est-ce que j'ai encore dit?

Mercredi au soir, le congé de la policière, Geneviève Dubois. Nous avions pris le souper ensemble et m'avait emmenée chez elle, immédiatement après le resto, pour me faire écouter un cd (album) pièce musicale qu'elle adorait et me disant que j'allais aussi adorer.

J'acceptais bien que je devais rentrer chez moi pour y dormir. Elle avait accepté cette condition. Telle fut le cas de l'autre soir, lorsqu'elle m'avait kidnappée de mes deux copines.

snorounanne - Ne me fais pas entendre de la musique style heavy rock. Je casserai tout dans ta maison. (d'un air ironique)

Geneviève Dubois - Mais non. Allons, tu ne me fais pas confiance? Si je te dis que j'adore c'est que tu adoreras.

snorounanne - En supposant le contraire. (Arrivant à son domicile. On y entrait)

Geneviève Dubois - (étalant son porte-clés sur le canapé, marchant vers la salle de bain) Tu fais comme chez toi. Tu as soif, y a le frigo et des breuvages. Tu veux du café, tout est là, à la cuisine.

snorounanne - Et le frigo aussi, je présume, est dans la cuisine?

Geneviève Dubois - (Au toilette) À toi de le découvrir!

 Je furetais des yeux l'endroit où pouvait être sa chaîne audio...

Geneviève Dubois - Je ne t'entends pas ma snorounne... que fais-tu?

snorounanne - Je visite ton salon! Bien que je l'ai flirté l'autre soir, je trouve... je le trouve plus ordonné! (clenchement de la toilette et eau du robinet en fonction)

Geneviève Dubois - J'arrive... (se miroitant, se faisant une queue de cheval en même temps)

snorounanne - Pas d'urgence! Je commence à m'y plaire. Je t'inviterai la prochaine fois, chez moi! Et... On se fera un bon (tournant des talons, elle était là devant moi) Ah, tu... Tu es là.

Geneviève Dubois - Un bon...?

snorounanne - Spaghetti. J'sais en faire. Peut-être même un des seuls mets que mes mains savent manier.

Geneviève Dubois - J'ai du bon vin rouge. Tu en veux une coupe avec moi? (allant à la cuisine)

snorounanne - Euh... Ça t'aidera pas à me reconduire tout à l'heure, chez moi. (la suivant derrière)

Geneviève Dubois - (s'arrêtant sur place, se retournant face à moi et les yeux pleins d'eau) J'ai envie que tu restes.

 Ces yeux... Dieu qu'elle me dévorait de tendresse!

Geneviève Dubois - J'aimerais... J'aimerais que tu passes la nuit ici, avec moi...

snorounanne - (ne sachant trop quoi répondre) C'est climatisé partout?

Geneviève Dubois - Tu as des questions, tu les poseras dans la chambre et pas ailleurs. (se collant sur moi)

Elle m'embrassait et je goûtais à ses lèvres fraîchement humides de passion. Et, elle mis un doigt sur le bouton jouer pour la musique et c'était cette chanson qu'elle est moi avions fait notre rentrée d'amour...

Il est inévitable que vous en fassiez autant mesdames et messieurs et que votre imaginaire vous transporte dans ces compartiments intimes de nos sens. Merci de lire ces éditoriaux. Merci d'être là. Merci à chacun de vous pour votre participation.

Un délice ce baiser...

À bientôt! Bisous!