On le pensait sur le départ après Knysna où sa supposé aura lui permettait de convaincre les joueurs de ne pas faire grève mais il est resté. Toujours adjoint du sélectionneur, il rend hommage à son chef : Laurent n’est pas n’importe qui, on ne l’appelle pas « le Président » pour rien (…) Ils sont dos au mur. On sait très bien qu’ils vont appliquer les consignes à la lettre et qu’ils vont être à l’écoute.»
Ton rôle à toi Alain, c’est quoi exactement ?