Un fond de commerce à entretenir.
Question iconoclaste, combien de personnes vivent (avec un statut privilégié et protecteur) sur la misère humaine.
C'est l'honneur de notre République de se préoccuper du sort de chacun de ces Citoyens, dûment admis et respectant les fondements de celle-ci.
Un discours misérabiliste amplifié par une partie des travailleurs sociaux ( question les missions locales sont elles des structures à vocation sociales?), toujours plus de jeunes avec des difficultés de tous ordres , addictions ( mais ou est la responsabilité de chacun ? je ne suis pas obligé de devenir alcoolique ou toxicomane?).
Toujours plus de chômage alors qu'une multitude d'emplois ne sont pas pourvus.
Un exemple m'interroge , il concerne un fait précis dans une mission locale, pour atteindre les objectifs d'accompagnement civis un jeune inscrit mission locale , pour participer à un stage de formation doit être CIVIS, n'y a-t- il pas double emploi et double coût pour le contribuable?
Encor plus fort une allocation de 150 euros ( auparavent 70 euros)est donné aux jeunes civis pour s'inscrire dans le programme.
Tout cela n'incite personne à se responsabiliser , à faire des efforts, car beaucuop vivent de la misère.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 17 septembre à 06:24
Un peu réducteur votre analyse, vous ne trouvez-pas ? Mais c'est bien le problème des personnes qui parlent ou discutent de sujets qu'ils ne maitrisent pas et se contentent simplement de reprendre des vieux poncifs (belle facilité intellectuelle) en ressortant l'éternel refrain du "tant qu'il y aura des pauvres, les riches dormiront tranquilles". Et vous de quel côté êtes-vous ? Un ancien riche déchu de ses privilèges ou un misérable déçu de ne pas en avoir...
Un vieux syndicaliste qui se bat depuis des années contre des arguments aussi démagogiques...
(Ah, oui, j'oubliais..., les syndicats à la botte du patronat, les syndicats qui s'engraissent avec les cotisations de leurs syndiqués, les syndicats qui défendent les demandeurs d'emploi donc qui ont intérêts à ce qu'ils restent chômeurs, car syndiqués uniquement parce qu'ils sont au chômage etc. etc.)