B.Obama peut-être lu de deux façons : soit comme un trait d’union entre noirs et blancs ; soit comme la combinaison de ce que le petit blanc hait le plus. D'une part le noir, dont la discrimination positive a fait un concurrent injustement favorisé, d'autre part l’élite intellectuelle bien pensante, riche et hautaine, qui méprise ses valeurs et lui met des bâtons dans les roues.
Compléments :
- L'hostilité qu'il inspire pourrait jouer en faveur de M.Obama : il n’est pas impossible qu’en donnant de la force au Tea Party, elle conduise celui-ci à doter les Républicains de candidats inéligibles…Mystères de la politique : c’est à qui tirera le plus contre son camp… Peut-être est-ce logique ? On ne peut être déçu que de ceux dont on attend beaucoup ?