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Pour le plaisir... (article 68)

Publié le 23 septembre 2010 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai, merci

À savoir si les accords sont finement harmonieux.

Jeudi matin, 16 septembre. À mon lever, j'étais un peu là et pas là. Je mettais mes pantoufles et un de mes chats tournoyait pour me faire comprendre comme à chaque matin, qu'il avait faim. Je sortais de la chambre traversant le couloir et allant à la salle de bain. Le véritable rituel de tous les matins, mesdames et messieurs.

J'avais légèrement touché, pincé mon nez, peut-être par habitude, et une odeur de fer... je regardais mes doigts et encore du sang séché. 

J'arrivais face au miroir, je mettais un doigt sur la narine gauche et du sang coulait. Je tirais un kleenex de la boîte sur la vanité et me mouchais. Du sang sortait de cette narine. Merde... Qu'est-ce qui se passe? Me disais-je. J'en tirais un deuxième kleenex et je voyais une goutte de sang couler de la narine.

snorounanne - À quoi c'est dû? Merde... (tirant un troisième kleenex) C'est quoi ce sang?

Et je me regardais dans le miroir, me parlant. Trop d'énervement, d'émotion hier, au souper. Ouais... Chez les parents de Genny. C'était la cause. Je ne voyais que cela comme déduction logique. J'allais à la toilette, forte envie de me soulager et ensuite un petit brin de toilette, de rafraîchissement des mains et de la figure.

Dédé était remis sur pieds. Afin de ne pas alourdir le poids de la blessure, je faisais ma part. J'emportais des accessoires pour préparer les reportages divers dans divers quartier de la ville. Il était pleinement souriant et content d'être au boulot à mes côtés.

Nous étions lundi 20 septembre, à la veille de l'automne. L'attendais-je joyeusement cette date, le 21 septembre, mesdames et messieurs? Oh que oui! J'en étais fichtrement tannée de ces taux d'humidex et le peu d'eau nous étant consacrés. Oui... Pour aller sur cette même vague que certaines personnes... Oui! Nous avons eu un bâtard de bel été!

Par surcroît, nous montions une petite mise en scène, ce lundi chez la maman de Céline! Maman Dion, Thérèse Tanguay Dion. Pourquoi? Une idée comme ça, étincelante, brillante, divertissante, des Productions J...

Je ne pouvais reculer, refuser, me décliner, me déclarer agonisante. Quand cela vient de Julie Snyder et de son mari, Pierre Karl Péladeau, mon boss... Il faut leur accorder toutes les faveurs qu'ils peuvent demander sinon,... perte de salaire considérable.

Parlant de perte... mesdames et messieurs, tout commentaire sur le contenu de ce que vous lirez sera le bienvenue à l'adresse de courriel que vous retrouvez sur l'émission de la semaine passée D'Humour.

Bien entendu, la gêne vous retient. Car, je suis en mesure de refuser de répondre si ce n'est que pour me charmer en bien ou en mal. Alors, faut croire que le sport ne vous intéresse pas beaucoup. Mais les amateurs de hockey, dans la ville de Québec... dormiez-vous? Ne me dites pas que vous souhaitez une équipe de hockey du temps des Nordiques du Québec mais n'étiez pas apte de poster un commentaire?

Vous parlez plus, vous aussi, que vous pouvez agir hen? C'est ça, le défaut d'un peu tout le monde sur tous les continents. On aime beaucoup parler pour parler mais on n'aime pas agir.  Ah ne soyez pas grognards! Je le suis aussi. Je parle, je parle mais je crains d'agir par crainte d'avoir des échos me blessant ou... m'enrageant encore davantage.

Tout cela pour vous dire que l'adresse pour rejoindre D'Humour est valide, cette fois-ci et le restera. Puisque avant, je n'étais pas tout à fait prête. Vous comprenez? Oui? Non? Sans importance.

Or, nous acheminions une petite publicité madame Dion et moi. Et cela a pris presque 7 heures à la réussir. Nous concoctions une recette avant son temps pour l'halloween. Qui dit recette, dit cuisine, dit préparation, dit savoir cuisiner... Et, je ne suis pas de cette catégorie.

Je suis pourrie! Voilà! Mais... Je sais faire autre chose par exemple... Oui! Donc, ce n'est pas si moche. Voici un aperçu de ce que Maman Dion et moi jasions, ce lundi, pendant l'enregistrement de la publicité sous de multiples reprises...

snorounanne - Deux pincées de sel ou au goût... Vous avez le goût de quoi, vous, madame Dion?

Maman Dion - En ce moment?

snorounanne - Non, je demandais pour demain, vous savez! (et le régisseur criait "coupez"!)

régisseur - snorounanne? Pouvez-vous, de grâce, vous en tenir qu'au texte?

Maman Dion - Coudonc... Portes-tu des lunettes, toi?

snorounanne - Oui, pour lire, pour regarder la télé, pour visionner un film sur grand écran et j'en porte pas devant la caméra. Ça répond à votre question?

régisseur - En place, on reprend la scène et respirez snorounanne, concentrez-vous. (faisant le décompte et action)

snorounanne - Deux pincées de sel ou au goût... Vous avez le goût de quoi, vous, madame Dion?

Maman Dion - En ce moment?

snorounanne - Oui, en ce moment.

Maman Dion - D'une bonne purée aux patates et aux chaucisses Italienna, bout de viarge! J'ai dit chaucisse! (le régisseur coupait à nouveau)

snorounanne - Bon! Okay! J'en ai assez! On peut prendre une pause?

régisseur - Non. Vous en avez pris suffisamment et ça fait 6 heures et 57 minutes que nous enregistrons une pub qui durera à peine 2 minutes. Allons! Allons! On se la fait et sans histoire, s'il vous plaît, mesdames. (donnant le signal)

snorounanne - Deux pincées de sel ou au goût... Vous avez le goût de quoi, vous, madame Dion?

Maman Dion - En ce moment?

snorounanne - Oui, en ce moment.

Maman Dion - D'une bonne purée aux patates et aux saucisses Italienna. Regarde snorounanne comme elle est bien réussie.

snorounanne - Pour l'halloween, offrez à vos invités, une surprise dont ils s'en souviendront longtemps.

 

 Un plat appétissant...

régisseur - Super! Nous l'avons eu! C'est beau... on ramasse tout et on file, les gars. Merci madame Dion d'avoir accepté de tourner cette publicité pour l'halloween. Merci à vous, snorounanne.

snorounanne - (me servant un verre d'eau) Merci d'avoir accepté que je puisse saupoudrer deux pincées de sel...

Maman Dion - Pourquoi tu me regardes comme ça?

snorounanne - Votre fille, Céline, n'aurait pas hésité une seconde pour me laisser entrer chez elle et cela, sans prendre de rendez-vous. Quand j'y pense encore... Misère!

Maman Dion - Ben, tu sauras que chez moi, c'est chez moi et je suis une femme très occupée. Me faut gérer mon agenda.

snorounanne - Vous faites ça avec tout le monde, maintenant. Vos nièces, vos neveux, vous les ignorer. Je suis certaine qu'avec Céline vous lui demander de prendre rendez-vous... Juste pour paraître socialement plus importante.

Maman Dion - Coudonc, t'as mangé de la vache enragée, toi? M'en veux-tu pour de quoi que j'ai jamais fait?

snorounanne - Vos saucisses sont pas assez cuites, et c'est dégueux ce plat! Excepté... (prenant la tête du squelette sur la purée) Je l'emporte comme preuve que je suis passée chez madame Thérèse Dion et que je méritais de faire autre chose que deux pincées de sel, merde!

Maman Dion - (riant) On sait tous que tu es nulle dans la popote. C'est moi qui ai demandé qu'on te laisse le moins possible toucher à mes plats, ma cuisine.

snorounanne - Par bonheur... J'aurais fait un massacre. (Elle posait la main sur ma main, tentant de me retirer la tête du squelette)

Un courant du type séismique s'implantait dans tout le corps, au toucher de sa main sur la mienne. J'ai senti au niveau du thorax un violent coup, une sensation douloureuse d'une coupure, telle une brûlure. Je serrais ma main et mis la tête du squelette dans une des poches de mon pantalon. Et, j'enlevais cette cape noire sur mon dos, remerciant toute l'équipe. J'avais senti autre chose et les idées dans ma tête, s'entremêlaient.

Je franchissais la porte de sortie lorsque Dédé me rejoignait. Nous sortions de cette belle maison en respirant l'air frais.

Dédé - Tu as été rude avec maman Dion. Céline n'aimera pas l'apprendre. Mais... c'était à se tordre de rire! Moi si j'étais  le producteur, ç'aurait été une pub comique.

snorounanne - Céline me connaît. Sa mère me ridiculisera, je m'en contrefiche. Mais je pouvais faire mieux que ces stupides pincées de sel, non?

Dédé - Euh... À vrai dire... Tu veux une réponse sincère?

snorounanne - Fiche-moi la paix. T'es pire que cette marâtre... (Ouvrant la portière de la fourgonnette et y montant)

Dédé - Bon d'accord. Changeons de sujet... (Montant à bord et démarrant le moteur) On fait quoi?

snorounanne - Reconduis-moi à la maison. Je veux avoir, prendre ma sphère. J'ai besoin d'être complètement seule.

Dédé - On va prendre un verre, avant?

snorounanne - J'en ai pas envie.

Dédé - Entendu. Exécution maison! En route...

Au soir, j'étais songeuse. Je n'avais pas téléphoné Genny, sachant bien qu'elle était quelque part, en service. Je voulais en parler, Dédé... Mais il ne garde si peu longuement, son sérieux. Il y avait Paella... Était-elle disponible? Il y avait ma mère. Je prenais l'appareil et je composais son numéro de téléphone et sur une heure de jasette, j'avais vidé toutes sensations.

Puis j'allais au lit après avoir baigné une vingtaine de minutes, mon corps, dans la baignoire. Le lendemain, mardi, 21 septembre. Enfin, l'automne! Enfin... Selon ce qu'on nous avait appris à l'école, à tous les 3 mois, le 21 représentait une saison. Et cela a changé avec le temps, les calculs, le cycle lunaire etc... Platitude. Comment voulez-vous qu'on soit fixé, dans le temps actuel, quand certaines personnes diplômées s'amusent à changer le courant de la vie et de ce qu'on nous a appris?

J'avais ouvert mon cellulaire et je lisais un message texte de la part de Genny. Elle me disait, bonne journée, ma puce, on s'appelle ce soir. Et des bisous. Il fait bon de se savoir aimé(e) et d'aimer. Les journées sont plus légères.

Mardi au soir, 20:00

Nous étions en ondes pour l'émission "snorounanne reçoit ce soir" mesdames et messieurs. Soyez en des fidèles et voici ce qui se défilait.

snorounanne - (assise bien confortablement) Bonsoir mesdames et messieurs, les gens à la maison, dans la salle et bienvenue à une autre émission de "snorounanne reçoit ce soir"

 On sentait les gens fébrile dans la salle...

snorounanne - Il me fait plaisir, avant d'annoncer notre invité, de passer par cette entrée et ainsi donner le profil de la personnalité. Je prends possession du petit carton et je vous lis cela en moins de deux.

- Son véritable nom Hubert Loenhard, est un compositeur et chanteur de variétés français, né à Strasbourg, le 25 février 1945. Il est aussi l'auteur d'articles et de livres sur les avions russes de la Seconde Guerre mondiale. Il est également passionné de football et a fait partie de l'équipe des Variétés.

- Et je suis convaincue que certains et certaines d'entre vous avez devinés, et êtes, mesdames, en extase? Sans plus tarder, voici Herbert Leonard!

 L'entrée musicale "sur des musiques érotiques"

 Ah ces femmes qui s'époumonnent...

snorounanne - Bonsoir monsieur Leonard!

 On se serrait les mains... aucune embrassade sur les joues.

On prenait, de façon satisfaite, nos fauteuils. Il avait ce regard très sérieux. Cela m'intimidait...

snorounanne - Vous allez bien?

Herbert Leonard - Enfin... j'attendais ce moment depuis longtemps et je tombe sur une savoureuse et charmante demoiselle pour me recevoir, ici, dans ce beau studio, et je n'ai pas oublié, les montréalais. Surtout... Surtout, les montréalaises! (des cris dans la salle)

snorounanne - Je ne crois pas que les gens vous aient aussi oubliés, monsieur Leonard.

Herbert Leonard - Je vous en prie, appelez-moi, Herbert. Nous sommes en toute intimité.

snorounanne - Devant presque un million de téléspectateurs, c'est pas mal intime. (clin d'oeil) Monsieur Herbert,...

Herbert Leonard - Herbert, tout court, j'y tiens.

snorounanne - Herbert, les questions que la plupart des gens se posent sont: Que faites-vous actuellement? Que devenez-vous? Pourquoi on n'entend du Herbert Leonard à la radio et qu'on ne le voit plus à la télé?

Herbert Leonard - Eh bien, grâce à cette émission, vous ferez revivre, "les has been" communément appelés. (clin d'oeil) Et je vous souhaite tout le succès que vous mériterez, mademoiselle d'Humour.

snorounanne - C'est trop gentil, merci.

Herbert Leonard - J'ai du temps pour en discuter? Oui?

snorounanne - Moins d'une heure. Allez-y.

Herbert Leonard - Eh bien...   Régulièrement, on m'a demandé, «  Quand faites-vous une salle à Paris? », et à chaque fois j'ai répondu « je ne sais pas »! Or, en 2009, je me suis décidé à donner un concert unique dans un endroit unique que j'aime beaucoup: Le petit Journal Montparnasse à Paris!

- Cela s'est passé le 8 avril, avec mes amis musiciens de toujours. Ils étaient sept. Et j'y ai chanté une sorte de biographie musicale, c'est-à-dire une succession de chansons qui ont marquées ma carrière depuis mes débuts en 1967.

- La première période de ce tour de chant comprenait un medley d'une dizaine de chansons, dont « Quelque chose tient mon cœur » et « Pour être sincère ». La seconde rassemblait un choix de chansons depuis 1980 qui, toutes, ont été des succès, et que j'aime particulièrement.

- Une captation audio a été faire et le mixage de ce concert est aujourd'hui terminé. Le résultat a donné naissance à un CD intitulé « LIVE » qui est sorti en février 2010, sur le site « gloussie-music.fr », « rubrique boutique ».

- Vous pouvez y commander le « medley » et chaque chanson pour un prix modique, mais aussi le CD dans son intégralité. Le paiement est sécurisé. Voilà...

snorounanne - Fascinant! Je vous écouterais parler pendant de longues heures. Vous avez une facilité de parler et de capter l'attention. Et puis, j'ai eu ouï-dire que vous écriviez.

Herbert Leonard - J'avais pas fini... Non... Non. Alors...   Depuis l'année 2010, les concerts ne manquent pas, car hormis les galas en mon nom propre, j'ai à nouveau la joie de me joindre à d'autres artiste« vintage »  au sein de la tournée « Age tendre et têtes de bois ».

- Comme les saisons précédentes, elle sillonne les route de France et de Navarre, de Belgique, et de Suisse, pour une bonne cinquantaine d'étapes,  voire plus. J'avais énormément éprouvé de plaisir à participer à cette tournée si festive pendant la saison 2008.

- Et je suis heureux de faire à nouveau partie de cette superbe troupe en 2010, servie par d'excellents musiciens, soutenue par des techniciens attentifs et compétents, et par une production sans failles. 

snorounanne - Et là, je peux vous poser la question: Vous écrivez?

Herbert Leonard - Oui, mademoiselle snorounanne.   Parallèlement à tout cela, quand je laisse de côté la chanson pour l'historien, ma passion pour les avions russes m'a conduit à consacrer mon temps libre pour réactualiser totalement mon premier livre intitulé originellement « les chasseurs russes et soviétiques de 1915 à 1950 paru en 1995.

- Cette nouvelle concoction comporte tout ce qui est connu sur ces avions de chasses russes et tout ce qui est apparu disponible en nouveautés dans les archives russes depuis la chute du Mur de Berlin.

- La réactualisation est enfin terminée et ce gros livre est déjà sur les tablettes, en vente, depuis novembre 2009 sous le titre de « Chasseurs Russes et Soviétiques » - 1915 à 1950 ».

- De plus, je travaille à la finition d'un autre livre sur les bombardiers en piqué soviétiques dont la parution est programmée pour très bientôt.

snorounanne - Que c'est très intéressant, Herbert. Et nous, nous avons quelque chose à vous faire entendre et pour les gens à la maison, et dans la salle, mesdames et messieurs. Nous passerons à des pauses commerciales et pour faciliter la tâche, veuillez cliquer sur ce lien, ici bas... Du moniteur...

http://www.youtube.com/watch?v=FOpfmy30FII

- Et nous vous reviendrons après cette écoute. À toute de suite!

Au retour à l'émission des applaudissements, les gens de la salle étaient encore debout et monsieur Leonard, de son regard charmeur, les remerciait.

snorounanne - Vous étiez passé, Herbert, à l'émission Ad Lib, si je ne me trompe, avec comme animateur, Jean-Pierre Coallier. Que de souvenirs! Et citant le mot souvenir, j'aimerais vous faire voir autre chose sur le moniteur. Et tout le monde va le voir en même temps. On regarde ça, ensemble.

Le petit Herbert Leonard... mais il portait pas ce nom.

Herbert Leonard - (joignant les mains de chaque côté de son nez) Miséricorde! C'est moi, en plus petit! Oh nom de Dieu... Vous avez de bons recherchistes.

snorounanne - Ouais, si on veut. Vous étiez coquet, à cette époque.

Herbert Leonard - Bien merci. Je suis tout... tout ému. Je pensais pas me revoir dans un tout petit format.

snorounanne - Pour vous remettre un peu de vos émotions, Herbert. Nous allons nous absenter 30 secondes et vous nous chanterez en direct, cette fois-ci, un autre de vos succès des années 80.

Herbert Leonard - Ce sera pour moi, un honneur, mademoiselle d'Humour.

Cela a été un bon entretien avec ce beau et séduisant Herbert.

Entre vous et moi, chaque fois que j'entends ses chansons à la radio, quelques racines de cheveux sur ma tête se dressent. Pour mon humble avis, il est et fait trop charmeur. C'est son étiquette, bien sûr. Mais, cela ne me fait aucunement trémousser.

Étant rentrée tard ce mardi soir à la maison et ayant rien au programme, le mercredi. En somme, je le souhaitais. On ne sait pas avec l'actualité, les événements quotidiens. J'allais me retrouver avec ma charmante Genny. Tous les mercredis, c'était son congé. Et elle m'avait téléphonée, la veille, on s'était parlées de longues heures échangeant nos tribulations de la journée. Il était très tard lors de cet appel, mais, elle, je ne pouvais la refuser.

Nous avions décidé d'aller prendre un souper, au resto. Elle passait me prendre pour 19 heures. Nous sommes allées en après-midi, ce mercredi, beau et plutôt chaud...  Se promener dans les rues de Laval. On apprenait de plus en plus et de mieux en mieux à se connaître. On s'appréciait et cela, chaque minute ensemble.

Elle arrivait dans l'entrée du stationnement, je sortais par le côté de la maison et, j'en croyais pas mes yeux.

Voiture de police pour entreprendre notre sortie.

Geneviève Dubois - (Au cellulaire) Oui, dès demain, 11 heures, j'y serai. À plus tard. (fermant son cellulaire) Désolée ma chérie... ma voiture est au garage. Problème mécanique! Mais... J'ai subtilisé une vieille mercenaire, d'un bon ami... Qui est, oui, un bon ami. (clin d'oeil)

snorounanne - Tu comptes pas qu'on se présente au resto avec une voiture de police?

Geneviève Dubois - Des questions? Tu les poses (ouvrant la portière) à l'intérieur. Nous ne devons pas être en retard, ma belle. Allez monte.

snorounanne - C'est légal? (Montant dans la voiture)

Geneviève Dubois - Dans la vie, si on ne prend pas de risque, on ne saura jamais... Et, pour le plaisir... Pourquoi pas? (fermant la portière)

snorounanne - Elle a suivi l'émission d'hier... (souriant tout en hochant de la tête) Elle est merveilleuse.

Geneviève Dubois - (S'installant devant le volant) Je lis sur les lèvres, attention. J'ai pris une pause, d'une demi-heure et j'y ai vu ce super beau mâle, comme invité... oh wow! (démarrant la voiture) Tu sais quoi?

snorounanne - Non mais je sens que tu vas me le dire.

Geneviève Dubois - Je me méfie de ces grands charmeurs. Je... Je préfère être charmée par une toute séduisante et exquise demoiselle d'Humour. (On s'embrassait)

Sur le rythme d'une musique, d'une chanson et non sur celle de monsieur Leonard, voici le bon temps d'écouter la chanteuse Des'ree, Desree et un autre souvenir, pourquoi pas? Dans la vie, il faut tout être ces états si on veut passer au travers.

Merci d'avoir lu cet éditorial, cette chronique, mesdames et messieurs. Je tiens à remercier particulièrement, les lecteurs, lectrices de Paperblog. Un gros merci! Et mes fidèles lecteurs, lectrices de mon coeur d'ici. Et vous, les nouveaux, merci.

On se donne un prochain rendez-vous? Oh... Mais vous savez que vous êtes libre d'entrer dans mon chez moi, sans rendez-vous.

À bientôt! Bisous!


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