Étonnant : c’est en fait un Australien de 17 ans qui est à l’origine du “bug” (appelons-le ainsi) qui a touché Twitter. En fait, le jeune homme a simplement voulu poster du code javascript au sein d’un tweet. Pourquoi pas, sauf que le code a quelque peu fait dérailler le service, en ouvrant une nouvelle page à chaque fois qu’il était survolé par le curseur d’une souris. Il n’en aura pas fallu plus pour que des hackeurs mal intentionnés exploitent la faille et l’utilisent pour véroler le service et rediriger un bon nombre de twittos vers un site (de je ne sais ou...).