Le 23, nous étions suffisament pour exprimer un refus crédible en France… pas assez pourtant pour clouer le bec mathématiquement aux médisants et à tous ceux qui ont trop goûtés de la soupe médiatique globale qui s'obstine à ne pas montrer les autres voies. Pourtant hier encore chez Tadéï, Anne-Marie Guillemard rappelait le décalage entre le cadre des années 50, propice au système "historique" des retraites et la réalité économique d'aujourd'hui qui nous force à envisager d'autre pistes, d'autres systèmes pour assurer la continuité de la solidarité inter-génerationnelle.Alors nous allons continuer à exprimer notre refus de l'orientation que prend notre monde, à clamer l'évidence qu'un monde qui se développe doit au minimum pouvoir garantir un avenir aux générations nouvelles… ou avouer sa régression.
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