L’échéance de fin octobre pour statuer sur le sort de Puel a paru bien lointaine samedi soir. Aulas continue de penser au remplaçement de son entraîneur et le dit lui-même : « On est là pour gérer, pas pour se justifier. Claude Puel, c’est un investissement sur quatre ans. S’il faut arrêter au milieu de son parcours, si c’est pour réussir… Ce n’est pas se contredire que de changer. Aujourd’hui, il faut réfléchir ».
Réfléchir : chercher un nouvel entraîneur.