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Tel Aviv-OL : Fin des lamentations

Publié le 29 septembre 2010 par Foothese

Tel Aviv-OL : Fin des lamentationsLyon retrouve une compétition qu’il arpente avec bonheur depuis un an. En ces périodes troubles, le match à Tel Aviv est une immense chance de se relançer. Claude Puel avec.

La scène hallucinante de Jean-Michel Aulas devant 2000 personnes samedi soir expliquant pourquoi il fallait faire confiance, mais pas trop quand même, à son entraîneur est encore dans toutes les mémoires. Lyon est en Israel ce soir et doit prendre au moins un point pour ne pas sombrer.

Pas besoin de tout faire pour gagner et c’est sans doute le meilleur scénario pour l’équipe de Claude Puel. Les Gones ont gagné le 1er match contre Schalke quand son adversaire du jour a perdu à Lisbonne. Un nul ne serait donc pas un mauvais résultat comptable mais pour le moral, c’est une victoire que vient chercher Lyon.

Si le niveau de jeu, la pression physique ou l’engagement sont les mêmes que contre les Verts, l’OL gagnera ce match. Et aisément. Mais le match de samedi était peut-être une exception pour Lyon qui a disputé sa meilleure partition de la saison. L’absence de Lisandro a plutôt été un avantage samedi mais sur la durée, Bafé Gomis est un ton en-dessous. Voire plus. Il peut davantage peser sur sa zone axiale et assurer de bonnes déviations mais dans le petit jeu, dans l’utilisation du ballon, il est encore tendre.

Gourcuff avant l’équipe de France

Luis Fernandez, sélectionneur israélien et bon politique a assuré que Tel Aviv était une bonne équipe et que la réception serait chaude. Cependant, Lyon n’a pas à avoir peur. Si Puel ne pense certainement pas refaire le même parcours que l’an dernier en C1, il a les moyens de passer ce 1er tour. Avant un double confrontation serrée contre le Benfica, il lui faut prendre des points ce soir.

Yoann Gourcuff a été le moins bon des lyonnais samedi. Il doit une revanche et, à la veille de son retour en Bleu, marquer son territoire et se poser comme le vrai meneur de jeu de cette équipe. Proche de son milieu sans isoler son attaquant de pointe. A 22 millions, un meneur de jeu international devrait savoir faire.

Lech Makaay


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