Né à Londres en 1988, Leo Chilcott n’avait pas du tout le goût de la musique jusqu’à ses 16 ans… puis réalisa qu’il avait tort. Quelques années plus tard naissait Nigtbreaker. Aussi bien influencé par les sons crades de l’electro d’aujourd’hui que par la musique classique, le jazz ou le blues (Shostakovich, Tom Waits…), il nous présente son 1er maxi composé de 3 tracks torturées et ravageuses sur Archibell Records.
Le premier morceau phare du maxi « Tokamak » déstabilise par son pied lourd et grinçant, ses synthés et samples vocaux cuttés agencés avec style. Pas le temps de respirer cette entrée en la matière tape fort et laisse sans voix. Place à « G.I.G.A.S » caractérisé par son break épic et mené par une mélodie et un groove imparable. Probablement le track le moins sombre du disque, peut-être histoire de vous ménager avant ce qui va suivre. « Nyx » et son ambiance inquiétante achève le travail par ses rythmiques instables et ses cuts diaboliques.
EP TEASER
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